Horace éclairci par la ponctuationChez Antoine-Augustin Renouard., 1810 - 204 strán (strany) |
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... Voltaire , dans une de ses épîtres : Des XX redoublés admirant la puissance , Il croit que Varignon fut seul utile en France , Et s'étonne sur - tout , qu'inspiré par l'amour , Sans algèbre autrefois Quinault charmât la cour . Ce savant ...
... Voltaire , dans une de ses épîtres : Des XX redoublés admirant la puissance , Il croit que Varignon fut seul utile en France , Et s'étonne sur - tout , qu'inspiré par l'amour , Sans algèbre autrefois Quinault charmât la cour . Ce savant ...
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... Voltaire lui- même appelle « la majesté de l'éloquence » de la Bible » ; majesté dont approche le génie des poëtes anciens , à mesure qu'ils sont plus grands , et dont les plus grands poëtes modernes ont emprunté presque tout le leur ...
... Voltaire lui- même appelle « la majesté de l'éloquence » de la Bible » ; majesté dont approche le génie des poëtes anciens , à mesure qu'ils sont plus grands , et dont les plus grands poëtes modernes ont emprunté presque tout le leur ...
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... qui force le vocatif Sexti à suivre la première pen- sée : c'est précisément de son édition que s'est servi Voltaire ; ou , du moins , quand il écrivoit le petit ouvrage , si pourtant ' il est de lui ( * ) , qui ODE IV . 105.
... qui force le vocatif Sexti à suivre la première pen- sée : c'est précisément de son édition que s'est servi Voltaire ; ou , du moins , quand il écrivoit le petit ouvrage , si pourtant ' il est de lui ( * ) , qui ODE IV . 105.
Strana 106
... Voltaire , « s'il est de lui » ; parceque , pour sa gloire , j'aime mieux croire à ce que disent les éditeurs dans leur avertissement , ou me laisser tromper par Voltaire lui - même , si cet avertisse- ment est aussi de lui ; et m ...
... Voltaire , « s'il est de lui » ; parceque , pour sa gloire , j'aime mieux croire à ce que disent les éditeurs dans leur avertissement , ou me laisser tromper par Voltaire lui - même , si cet avertisse- ment est aussi de lui ; et m ...
Strana 107
... Voltaire . Voltaire est moins partial quand il n'est plus question de lui ; on doit mème regarder , peut - être , comme une pure plaisanterie ce qu'il met , à propos d'un vers de la 1. ode d'Horace , dans la bouche de son Pococurante ...
... Voltaire . Voltaire est moins partial quand il n'est plus question de lui ; on doit mème regarder , peut - être , comme une pure plaisanterie ce qu'il met , à propos d'un vers de la 1. ode d'Horace , dans la bouche de son Pococurante ...
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ABDOLONYME Achaintre æquore agna anglois animæ audax auroit auteur avoit Bacchus barbiton Baskerville Batteux beauté Binet Cicéron conjonction Coustelier critique curriculo custos d'exclamation Dacier Didot doctarum éditeurs édition d'Horace Elzevier Epist étoit Euterpe feriam sidera vertice fidens finibus Atticis foible goût Horace hunc illum imprimeurs interrogatif ISOCRATE j'ai Jovis Jupiter juvat juventus l'auteur l'édition l'ode latin lecteur livre malè manière de ponctuer matif meæ Mécène ment mots n'étoit natantia nemus neque nominatifs nunc Nympharumque Pantagruel parceque parenthèse paroît passage Pater pensée peut-être phrase incidente poëme poésie poëte Poinsinet Poinsinet de Sivry ponc ponctuation populo præter precor première ode Pyrrha qu'Horace quæ question quid quod remarque rubente Sanadon Satyris savans second sens senti seroit seule signe de ponctuation Sivry stance Sublimi feriam sidera substantif suivant superis systême Télémaque Terruit gentes Terruit urbem teur tion très-bien tuation turpi ulmo urimur Valart verbe vides virgule vocatif Voltaire
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Strana 71 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille.
Strana 20 - ... immemor, seu visa est catulis cerva fidelibus, seu rupit teretes Marsus aper plagas. me doctarum hederae praemia frontium dis miscent superis, me gelidum nemus 30 nympharumque leves cum Satyris chori secernunt populo, si neque tibias Euterpe cohibet nee Polyhymnia Lesboum refugit tendere barbiton.
Strana 97 - N'a eu de moi que la moitié. Une part te reste : elle est tienne ; Je la fie à ton amitié , Pour que de l'autre il te souvienne.
Strana 4 - Maecenas, atavis edite regibus, O, et praesidium et dulce decus meum, Sunt quos curriculo pulverem Olympicum Collegisse juvat, metaque fervidis Evitata rotis, palmaque nobilis Terrarum dominos evehit ad Deos.
Strana 72 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Strana 81 - Major, tollere seu ponere vult freta. Quem Mortis timuit gradum Qui siccis oculis monstra natantia, Qui vidit mare turgidum et Infames scopulos Acroceraunia ? Nequicquam deus abscidit Prudens Oceano dissociabili Terras si tamen impiae Non tangenda rates transiliunt vada. Audax omnia perpeti Gens humana ruit per vetitum nefas.
Strana 182 - Augur et fulgente decorus arcu Phoebus acceptusque novem Camenis, Qui salutari levat arte fessos Corporis artus, Si Palatinas videt aequus arces 65 Remque Romanam Latiumque, felix Alterum in lustrum meliusque semper Proroget aevum.
Strana 4 - Nee partem solido demere de die, Spernit ; nunc viridi membra sub arbuto Stratus, nunc ad aquae lene caput sacrae.
Strana 79 - L'ouvrage poetique dont je parle est écrit en prose, et en dix chants qui composent deux petits volumes, sans un mot de préface ou d'explication. Voici son titre: « Le dernier Homme ; ouvrage posthume ; par M. de Grainville, Homme de lettres. Paris , Déterville , an 14, i8o5.
Strana 19 - Collegisse juvat, metaque fervidis Evitata rotis, palmaque nobilis. £ Terrarum dominos evehit ad Deos, Hune si mobilium turba Quiritium Certat tergeminis tollere honoribus; Illum si proprio condidit horreo Quidquid de Libycis verritur areis.