La ligue: précédée des États d'Orléans, scènes historiques, Zväzok 1M. Lévy, 1872 |
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La ligue precedee des etats d'Orleans. Scenes historiques, Zväzok 1 Louis Vitet Úplné zobrazenie - 1861 |
La ligue précédée des états d'Orléans: scènes historiques, Zväzok 1 Louis Vitet Úplné zobrazenie - 1872 |
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Adieu allez Allons Alphonse d'Ornano amis assez avez barricade beau Bellièvre BIRON bon Dieu BOUCHARD bourgeois Brézé Brigard Brissac BRISSON LA MÈRE BUSSY CARDINAL DE BOURBON CARDINAL DE LORRAINE CATHERINE chancelier Chavigny cher chose cœur connétable cousin Crillon croyez-moi CRUCE Cypierre D'ANDELOT D'ELBENNE d'Épernon D'ESPIGNAC DARDOIS DAVILA demain demi-voix dire DUC DE GUISE DUCHESSE êtes François FRÈRE EUSTACHE garde gens gentilshommes GUGLIELMO Guiche Halde Henri heure homme huguenots j'ai j'en JACQUES CLÉMENT jours l'ambassadeur laisser Ligue ligueurs Lincestre Louvre m'en MADAME BRISSON MADAME DE MONTPENSIER main Majesté MARTEAU Mayneville messieurs mieux MISS SEYTON monseigneur monsieur le duc morbleu n'en NAVARRE oncle ORNANO parler paroles passer pauvre peur porte Poulain PRINCE DE CONDÉ raison REINE MÈRE reste rien ROLAND s'approche s'il vous plaît SAINT-PAUL sainte sais SANCHEZ savez SCÈNE sera seul Sire soir sort sortent STEWART tête vais valet venir veux VILLEQUIER VILLEROI voici voilà voix voulez-vous
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Strana 310 - Ah ! malheureux hypocrites, vous vous moquez donc de Dieu sous le masque, et portez par contenance un fouet à votre...
Strana 309 - ... assez bigarrées de dévotion et de libertinage pour que dans le Journal de sa vie on lise sur la même page deux anecdotes comme celles-ci : «Le jour de carême-prenant , ils allèrent (le roi « et son frère ) suivis de leurs favoris par les rues « de Paris à cheval et en masque , déguisés en « marchands, prêtres, avocats et en toute sorte « d'états, courant la bride avalée, renversant les
Strana 256 - Shakspeare, j'eus la curiosité de rapprendre dans cette pièce tout l'historiquc de la vie de ce prince, mêlée de révolutions si contraires l'une à l'autre, et si subites, qu'on les confond presque toujours , malgré qu'on en ait... J'avoue que cent fois j'ai su ces faits, et cent fois je les ai oubliés. J'ai donc lu...
Strana 255 - ... mettre en relief, aux dépens de la vérité, quelques personnages et quelques événements principaux et ne faire voir les autres qu'en perspective : j'ai préféré laisser les choses telles que je les trouvais, introduire dans mon premier plan tous les hommes et tous les événements...
Strana 295 - Clerc que la religion catholique étoit perdue si on n'y donnoit ordre et prompt secours, pour empêcher ce qui se préparoit pour la ruiner; et qu'il y avoit plus de dix...
Strana 296 - Clerc, qui bailloit l'argent pour payer lesdites armes, il me répondit que c'étoient tous gens de bien qui ne se vouloient déclarer qu'au besoin , crainte d'être découverts; et...
Strana 256 - J'avoue que, cent fois, j'ai su ces faits et, cent fois, je les ai oubliés. J'ai donc lu Shakespehar dans l'intention de me les bien représenter.... J'ai vu les principaux personnages de ce temps-là mis en action, ils ont joué devant moi; j'ai reconnu leurs mœurs, leurs intérêts, leurs passions qu'ils m'ont apprises eux-mêmes : et, tout à coup, oubliant que je...
Strana 254 - Paris au mois de mai 1588, pendant l'orageuse journée des Barricades, et pendant les jours qui la précédèrent ; que j'entrais tour à tour dans les salons du Louvre , dans ceux de l'hôtel de Guise , dans les cabarets , dans les églises , dans les logis des bourgeois ligueurs , politiques ou huguenots , et chaque fois qu'une scène pittoresque , un tableau de mœurs , un trait de caractère sont venus s'offrir à mes yeux , j'ai essayé d'en reproduire l'image en esquissant une scène.
Strana 287 - Le vendredi, i" février, dit l'Estoile, les quar« teniers et les dixainiers alloient par les maisons « des bourgeois porter la ligue et faire signer les «articles d'icelle. Le premier président de Thou, « et quelques autres présidens et conseillers la «signèrent avec restriction; les autres la...
Strana 380 - Maudit abbé ! qui sait où il m'entraînerait avec ses coups d'État? En vérité tous les jours il me déplaît davantage. Il est si laid ! il me dégoûte ! ces yeux de fouine, et cette peau plus ridée que celle d'une pomme au mois de juin!... Si d'Épernon ne me l'avait pas tant recommandé, il y aurait beau temps qu'il ne me fatiguerait plus les yeux ni les oreilles. Ah! sainte Marie! c'est d'Épernon qu'il me faudrait!