Histoire de Sisteron, tirée de ses archives. À laquelle on a joint deux mémoires, sur les origines et révolutions des noms de famille en Provence, et sur l'état et les progrès de la sociéte dans cette même province, an 15e siècle, Zväzok 1

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Strana 30 - Theopolis qn'il entoure de murs, auquel il donne des portes et dont le sol lui appartient : rien de tout cela annonce-t-il une ville? n'est-il pas évident au contraire, qu'avant Dardanus, Theopolis n'était rien, ou peu de choses ; que c'est lui-même qui l'a fondée ; que son but est de s'assurer un asile...
Strana 374 - C'étoit un bon gouvernement qui avoit en soi la capacité de devenir meilleur. La coutume vint d'accorder des lettres d'affranchissement; et bientôt la liberté civile du peuple, les prérogatives de la noblesse et du clergé, la puissance des rois, se trouvèrent dans un tel concert, que je ne crois pas qu'il y ait eu sur la terre de gouvernement si bien tempéré que le fut celui de chaque partie de l'Europe dans le temps qu'il y subsista. Et il eSt admirable que la corruption du gouvernement...
Strana 550 - Dunelmensem et alias ubilibet constitutis ad quem vel ad quos presentes nostre littere pervenerint salutem in domino et mandatis nostris ymo verius apostolicis firmiter obedire. Noveritis nos...
Strana 235 - Et vidi : et ecce equus albus, et qui sedebat super illum habebat arcum, et data est ei corona, et exivit vincens ut vinceret.
Strana 341 - a au monde que cette petite propriété syllabique qui » soit tellement à une race, que rien ne peut la lui » enlever, si elle veut la conserver. Personne n'est certain » qu'une possession quelconque autre que celle-ci restera » dans sa descendance, tant qu'elle durera. Pourquoi » l'amour de la propriété ne se fixerait-il...
Strana 341 - Mais qu'avons-nous qui soit plus à nous, et qui nous » appartienne d'une manière plus incomrautable, plus » inaliénable que notre nom? La possession de tous les » autres biens est précaire dans une famille. Titres, terres, » fortune, honneurs, tout varie et change de mains. Il n'y » a au monde que cette petite propriété syllabique qui » soit tellement à une race, que rien ne peut la lui » enlever, si elle veut la conserver. Personne n'est certain » qu'une possession quelconque autre...
Strana 519 - Bcismatis labe respersi videntur, fraternitati tue, de qua in hiis et aliis gerimus in Domino fiduciam specialem, per...
Strana 379 - Pepin avoît été un tyran adroit et rusé ; Charles Martel ne voulut mériter que l'amitié de ses soldats , et se fit craindre de tout le reste. Il traita les Français avec une extrême dureté ; il fit plus , il les méprisa. Ne trouvant par-tout que des lois oubliées ou violées , il mit à leur place, sa volonté. Sûr d'être le maître , tant qu'il auroit une armée affectionnée à son service, il l'enrichit, sans scrupule , des dépouilles du clergé , que ses mauvaises mœurs rendoient...
Strana 315 - Millin, savants antiquaires, furent par eux déclarées apocryphes; je ne rapporte pas le texte, dit ce dernier2, et ne prends pas la peine de les commenter, parce que la forme des lettres, l'orthographe des noms, les fautes contre l'histoire et la chronologie, tout en annonce la fausseté...
Strana 267 - On ne voulut pas les recevoir dans la ville; ils restèrent, pendant deux jours, campés à la manière des gens de guerre, dans un pré, au quartier de la Baume , où on leur envoya des vivres : « Suivant en cela, ajoute la délibération, l'exemple des autres villes de Provence, par où ils avaient passé. « Ils consommèrent, dans un repas, cent pains du poids de vingt onces, d'où l'on peut juger à peu près de leur nombre.

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