Œuvres choisies, Zväzok 1 |
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... regards des sacrés orateurs . Veut - elle d'un Dieu bon nous peindre la clémence , Guidant de Fénélon la sensible éloquence , Au travers d'un chemin de fleurs tout parsemé Elle nous mène à Dieu par nos pleurs désarmé . Lui faut - il ...
... regards des sacrés orateurs . Veut - elle d'un Dieu bon nous peindre la clémence , Guidant de Fénélon la sensible éloquence , Au travers d'un chemin de fleurs tout parsemé Elle nous mène à Dieu par nos pleurs désarmé . Lui faut - il ...
Strana 21
... regards , Toi qui fais résonner tous leurs orbes épars , Soleil , de tes rayons échauffe mon génie : J'entendrai dans ton char la céleste harmonie ; Je pourrai comme toi , planant sur l'univers , Imprimer son accord au chaos de mes vers ...
... regards , Toi qui fais résonner tous leurs orbes épars , Soleil , de tes rayons échauffe mon génie : J'entendrai dans ton char la céleste harmonie ; Je pourrai comme toi , planant sur l'univers , Imprimer son accord au chaos de mes vers ...
Strana 23
... regards du pilote irrité , Insulte sans relâche à sa dextérité , Rompt la rame rebelle et le câble qui crie , Et , sur les mâts tremblans redoublant de furie , En dépit de Plutus , dans le gouffre des eaux Abîme en un clin - d'œil les ...
... regards du pilote irrité , Insulte sans relâche à sa dextérité , Rompt la rame rebelle et le câble qui crie , Et , sur les mâts tremblans redoublant de furie , En dépit de Plutus , dans le gouffre des eaux Abîme en un clin - d'œil les ...
Strana 29
... regards ; Soulevant d'une main la pierre qui l'opprime , « Arrête , me dit - il , étranger magnanime ; « Un instant , s'il se peut , songe à moi par pitié ; " Parens , amis , enfans , ils m'ont tous oublié ! » C'en est trop ; je m ...
... regards ; Soulevant d'une main la pierre qui l'opprime , « Arrête , me dit - il , étranger magnanime ; « Un instant , s'il se peut , songe à moi par pitié ; " Parens , amis , enfans , ils m'ont tous oublié ! » C'en est trop ; je m ...
Strana 53
... regard on s'était entendu ; Les cœurs étaient donnés quand l'oiseau fut rendu . Ne nous dis pas , ô Muse , en rimes inutiles De leur amour naissant les préludes futiles ; Quatre mots dans ce cas suffisent au bonheur : Soupirs , occasion ...
... regard on s'était entendu ; Les cœurs étaient donnés quand l'oiseau fut rendu . Ne nous dis pas , ô Muse , en rimes inutiles De leur amour naissant les préludes futiles ; Quatre mots dans ce cas suffisent au bonheur : Soupirs , occasion ...
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Strana 275 - L'autre esquive le coup; et l'assiette volant S'en va frapper le mur, et revient en roulant.
Strana 276 - J'aime mieux un ruisseau qui sur la molle arène Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, 170 Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Strana 219 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Strana 58 - On reposait la nuit, on dormait tout le jour. Seulement au printemps, quand Flore dans les plaines Faisait taire des vents les bruyantes haleines, Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent.
Strana 219 - Marot bientôt après fit fleurir les ballades, Tourna des triolets, rima des mascarades, A des refrains réglés asservit les rondeaux , Et montra pour rimer des chemins tout nouveaux.
Strana 219 - Durant les premiers ans du Parnasse françois, Le caprice tout seul faisait toutes les lois. La rime, au bout des mots assemblés sans mesure, Tenait lieu d'ornements, de nombre et de césure.
Strana 139 - Un pédant, enivré de sa vaine science, Tout hérissé de grec, tout bouffi d'arrogance, Et qui de mille auteurs, retenus mot pour mot, Dans sa tête entassés, n'a souvent fait qu'un sot, Croit qu'un livre fait tout, et que sans Aristote La raison ne voit goutte et le bon sens radote.
Strana 48 - Pékin qu'à Paris. Ton peuple est-il soumis à cette loi si dure Qui veut qu'avec six pieds d'une égale mesure, De deux alexandrins côte à côte marchants, L'un serve pour la rime et l'autre pour le sens ? Si bien que sans rien perdre, en bravant cet usage, On pourrait retrancher la moitié d'un ouvrage.
Strana 159 - Est mihi purgatam crebro qui personet aurem: Solve senescentem mature sanus equum, ne Peccet ad extremum ridendus et ilia ducat.
Strana 219 - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque.