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D'après une des lois providentielles qui régissent le monde, rarement les œuvres au-dessus de l'ordinaire se font sans contradictions plus ou moins fortes et nombreuses. Les Ateliers Catholiques ne pouvaient guère échapper à ce cachet divin de leur utilité. Tantôt on a nié leur existence ou teur importance; tantôt on a dit qu'ils étaient fernies ou qu'ils allaient l'être. Cependant ils poursuivent leur carrière depuis 21 ans, et les productions qui en sortent deviennent de plus en plus graves et soignées aussi paraît-il certain qu'à moins d'événements qu'aucune prudence humaine ne saurait prévoir ni empêcher, ces Ateliers ne se fermeront que quand la Bibliothèque du Clergé sera terminée en ses 2,000 volumes in-4°. Le passé parait un sûr gar nt de l'avenir, pour ce qu'il y a à espérer ou à craindre. Cependant, parmi les calomnies auxquelles ils se sont trouvés en butte, il en est deux qui ont été continuellement répétées, parce qu'étant plus capitales, leur effet entraînait plus de conséquences. De petits et ignares concurrents se sont donc acharnés, par leur correspondance ou leurs voyageurs, à répéter partout que nos Editions étaient mal corrigées et mal imprimées. Ne pouvant attaquer le fond des Ouvrages, qui, pour la plupart, ne sont que les chefs-d'œuvre du Catholicisme reconnus pour tels dans tous les temps et dans tous les pays, il fallait bien se rejeter sur la forme dans ce qu'elle a de plus sérieux, la correction et l'impression; en effet, les chefs-d œuvre même n'auraient qu'une demi-valeur, si le texte en était inexact ou illisible.

Il est très-vrai que, dans le principe, un succès inoui dans les fastes de la Typographie ayant forcé l'Editeur de recourir aux mécaniques, afin de marcher plus rapidement et de donner les ouvrages à moindre prix, quatre volumes du double Cours d'Ecriture sainte et de Théologie furent tirés avec la correction insuffisante donnée dans les imprimeries à presque tout ce qui s'édite; il est vrai aussi qu'un certain nombre d'autres volumes, appartenant a diverses Publications, furent imprimés ou trop noir ou trop blanc. Mais, depuis ces temps éloignés, les mécaniques out cédé le travail aux presses à bras, et l'impression qui en sort, sans être du luxe, attendu que le luxe jurerait dans des ouvrages d'une telle nature, est parfaitement convenable sous tous les rapports. Quant à la correction, il est de fait qu'elle n'a jamais été portée si loin dans aucune édition ancienne ou contemporaine. Et comment en serait-il autrement, après toutes les peines et toutes les dépenses que nous subissous pour arriver à purger nos épreuves de toutes fautes? L'habitude, en typographie, même dans les meilleures maisons, est de ne corriger que deux épreuves et d'en conférer une tro sième avec la seconde, sans avoir préparé en rien le manuscrit de l'auteur.

Dans les Ateliers Catholiques la différence est presque incommensurable. Au moyen de correcteurs blanchis sous le harnais et dont le coup d'ail typographique est sans pitié pour les fautes, on commence par préparer la copie d'un bout à l'autre sans en excepter un seul mot. On lit ensuite en première épreuve avec la copie ainsi préparée. On lit en seconde de la même manière, mais en col ationnant avec la première. On fait la même chose en tierce, en collationnant avec la seconde. On agit de même en quarte, en collationnant avec la tierce. On renouvelle la même opération en quinte, en collationnant avec la quarte. Ces collationnements ont pour but de voir si aucune des fautes signalées au bureau par MM. les correcteurs, sur la marge des épreuves, n'a échappé à MM. les corrigeurs sur le marbre et le métal. Après ces cinq lectures entières contrôlées l'une par l'autre, et en dehors de la préparation ci-dessus mentionnée, vient une révision, et souvent il en vient deux ou trois; puis l'on cliche. Le clichage opéré, par conséquent la pureté du texte se trouvant immobilisée, on fait, avec la copie, une nouvelle lecture d'un bout de l'épreuve à l'autre, on se livre à une nouvelle révision, et le tirage n'arrive qu'après ces innombrables précautions. Aussi y a t il à Montrouge des correcteurs de toutes les nations et en plus grand nombre que dans vingt-cinq imprimeries de Paris réunies! Aussi encore, la correction y coûte-t-elle autant que la composition, tandis qu'ai leurs elle ne coûte que le dixième ! Aussi enfin, bien que l'assertion puisse paraitre téméraire, l'exactitude obtenue par tant de frais et de soins, fait-elle que la plupart des Editions des Ateliers Catholiques laissent bien loin derrière elles celles même des célèbres Bénédictins Mabillon et Moutfaucon et des célèbres Jésuites Petau et Sirmond. Que l'on compare, en effet, n'importe quelles feuilles de leurs éditions avec celles des nôtres qui leur correspondent, en grec comme en latin, on se convaincra que l'invraisemblable est une réalité.

D'ailleurs, ces savants éminents, plus préoccupés du sens des textes que de la partie typographique et n'étant point correcteurs de profession, lisaient, non ce que portaient les épreuves, mais ce qui devait s'y trouver, lear haute intelligence suppléant aux fautes de l'édition. De plus les Bénédictins, comme les Jésuites, opéraient presque toujours sur des manuscrits, cause perpétuelle de la multiplicité des fautes, pendant que les Ateliers Catholiques, dont le propre est surtout de ressusciter la Tradition, n'opèrent le plus souvent que sur des imprimés.

Le R. P. De Buch, Jésuite Bollandiste de Bruxelles, nous écrivait, il y a quelque temps, n'avoir pu trouver en dix-huit mois d'étude, une seule faute dans notre Patrologie latine. M. Denzinger, professeur de Théologie à l'Université de Wurzbourg, et M. Reissmann, Vicaire Général de la même ville, nous mandaient, à la date du 19 juillet, n'avoir pu également surprendre une seule faute, soit dans le latin soit dans le grec de notre double Patrologie. Entin, le savant P. Pitra, Bénédictin de Solesme, et M. Bonetty, directeur des Annales de philosophie chrétiennie, mis au défi de nous convaincre d'une seule erreur typographique, ont été forcés d'avouer que nous n'avions pas trop présumé de notre parfaite correction. Dans le Cierge se trouvent de bons latinistes et de bons he lénistes. et, ce qui est plus rare, des hommes très-positifs et très-pratiques, eh bien ! nous leur promettons une prime de 25 centimes par chaque faute qu'ils découvriront dans n'importe lequel de nos volumes, surtout dans les grecs.

Malgré ce qui précède, l'Editeur des Cours complets, sentant de plus en plus l'importance et même la nécessité d'une correction parfaite pour qu'un ouvrage soit véritablement utile et estimable, se livre depuis plus d'un an, et est résolu de se livrer jusqu'à la fin à une opération longue, pénible et coûteuse, savoir, la révision entière et universelle de ses innombrables clichés. Ainsi chacun de ses volumes, au fur et à mesure qu'il les remet sous presse, est corrigé mot pour mot d'un bout à l'autre. Quarante hommes y sont ou y seront occupés pendant 10 ans, et une somme qui ne saurait être moindre d'un demi million de francs est consacrée à cet important contrôle. De cette manière, les Publications des Ateliers Catholiques, qui déjà se distinguaient entre toutes par la supériorité de leur correction, n'auront de rivales, sous ce rapport, dans aucun temps ni daus aucun pays; car quel est l'éditeur qui pourrait et voudrait se livrer APRES COUP à des travaux si gigantesques et d'un prix si exorbitant? Il faut certes être bien pénétré d'une vocation divine à cet effet, pour ne reculer ni devant la peine ni devant la dépense, surtout lorsque l'Europe savante proclame que jamais volumes n'ont été édités avec tant d'exactitude que ceux de la Bibliothèque universelle du Clergé. Le présent volume est du nombre de ceux révisés, et tous ceux qui le seront l'avenir porteront cette note. En conséquence, pour juger les productions des Ateliers Catholiques sous le rapport de la correction, il ne faudra prendre que ceux qui porterout en tête l'avis ici tracé. Nous ne reconnaissons que cette édition et celles qui suivront sur nos planches de métal ainsi corrigées. On croyait autrefois que la stéréotypie immobilisait les fautes, attendu qu'un cliché de métal n'est point élastique; pas du tout, il introduit la perfection, car on a trouvé le moyen de le corriger jusqu'à extinction de fautes. L'Hébreu a été revu par M. Drach, le Grec par des Grecs, le Latin et le Français par les premiers correcteurs de la capitale en ces langues.

Nous avons la consolation de pouvoir tinir cet avis par les réflexions suivantes: Enfin, notre exemple a fini pa ébranler les grandes publications en Italie, en Allemagne, en Belgique et en France, par les Canons grecs de Rome le Gerdil de Naples, le Saint Thomas de Parme, l'Encyclopédie religieuse de Munich, le recueil des déclarations des riles de Bruxelles, les Bollandistes, le Suarez et le Spicilege de Paris. Jusqu'ici, on n'avait su réimprimer que des ouvrages de courte haleine. Les in-, où s'engloutissent les in-folio, faisaient peur, et on n'osait y toucher, par crainte de se noyer dans ces abimes sans fond et sans rives; mais on a fini par se risquer à nous imiter. Bien plus, sous notre impulsion, d'autres Editeurs se préparent au Bullaire universel, aux Décisions de toutes les Congrégations, à une Biographie et à une Histoire générale, etc., etc. Malheureusement, la plupart des éditions déjà faites ou qui se font, sont sans autorité, parce qu'elles sont sans exactitude; la correction semble en avoir été faite par des aveugles, soit qu'on n'en ait pas senti la gravité, soit qu'on ait reculé devant les frais; mais patience! une reproduction correcte surgira bientôt, ne fût-ce qu'à la lumière des écoles qui se sont faites ou qui se feront encore.

DOGMATIQUE, HISTORIQUE, ASCÉTIQUE ET PRATIQUE,

DES INDULGENCES,

DES

CONFRÉRIES ET ASSOCIATIONS CATHOLIQUES,

A l'usage des Ecclésiastiques, des Élèves du Sanctuaire et des Fidèles pieux ;

PAR M. L'ABBÉ PATI JOUHANNEAUD,

Chanoine honoraire de Limoges, Directeur de l'OEuvre des Bons livres et de l'OEuvre de Saint-FrançoisXavier de cette ville, ex-sous-Supérieur du petit Séminaire du Dorat, auteur du Dictionnaire d'Ancedotes chrétiennes, et d'un grand nombre d'Ouvrages religieux:

PUBLIÉ

PAR M, L'ABBÉ MIGNE,

ÉDITEUR DE LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE DU CLERGE,

ου

DES COURE COMPLETS SUR CHAQUE BRANCHE DE LA SCIENCE ECCLÉSIASTIQUE.

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S'IMPRIME ET SE VEND CHEZ J.-P. MIGNE, ÉDITEUR, AUX ATELIERS CATHOLIQUES, RUE D'AMBOISE, 20, AU PETIT-MONTROUGE, AUTREFOIS BARRIÈRE D'ENFER DE PARIS, MAINTENANT DANS PARIS.

R

1862

AVERTISSEMENT.

Indulgentiarum usum Christiano populo maxime salutarem esse...

L'usage des indulgences est très-salutaire au peuple chrétien. ›

(Conc. Trid., sess. 25, in decr. de Indulgentiis.)

Væ soli, quia, cum ceciderit, non habet sublevantem se... Funiculus triplex difficile rumpitur.

Malheur à l'homme isolé, car, s'il tombe, il n'a personne pour le relever... Un faisceau de fils se rompt difficilement. › (Eccle. IV, 10-12.)

Ces deux citations font toute la préface de notre Dictionnaire. Montrer la divinité de l'institution des Indulgences, leur utilité, leur efficacité, le prix qu'elles ont coûté à Jésus-Christ, la facilité de les obtenir et les avantages qu'en retirent l'Eglise militante et l'Eglise souffrante; ce qu'on doit faire pour acquérir ces précieuses richesses, et puis les avantages considérables que procure l'enrôlement dans quelque confrérie: tel est le but de ce livre, et voici en peu de mots comment nous avons cherché à l'atteindre.

Ayant surtout en vue d'alléger le travail des pasteurs absorbés par les travaux du ministère, de leur éviter de longues et quelquefois très-difficiles recherches, nous avons pour eux consulté consciencieusement et mis à contribution une multitude de volumes que la plupart auraient même de la peine à se procurer. De plus, comme nous avons voulu que tout prêtre ayant à traiter d'une indulgence, soit en public, soit en particulier, trouvât dans notre Dictionnaire les éléments essentiels de son exhortation ou de ses discours, nous ne nous sommes pas borné à une exposition sèche du nombre et de la qualité de ces trésors spirituels pouvant étre gagnés dans telle ou telle circonstance; nous avons inséré, selon l'importance des sujets, un certain nombre de prières, de réflexions, de pratiques propres à en faire connaître l'excellence et à exciter des dispositions convenables ou nécessaires.

Dirons-nous, avec le traducteur du Raccolta : Comme beaucoup sont étrangers à l'idiome italien ou latin, dans lequel sont écrites les prières auxquelles l'Eglise a attaché des indulgences, et comme cependant il leur est permis de les gagner, nous en avons dû donner la traduction française. Il est inutile d'indiquer tous les auteurs dont nous nous sommes aidé : leurs noms se trouvent d'ailleurs à chaque page dans le texte ou dans les notes de chacun de nos chapitres ou articles. Toutefois, il nous semble important de dire que les recueils dont nous citons le plus souvent des fragments ou que nous analysons, sont :

1o Le Traité dogmatique et pratique des Indulgences, etc., de Mgr Bouvier, actuellement évêque du Mans (Edition de 1850). Cet ouvrage, de l'excellence duquel il ne nous est pas permis de juger, nous l'indiquons par ces simples mots abréviatifs : Mgr Bouvier :

2o Instructions pratiques sur les Indulgences et les Confréries, etc. Cet ouvrage, publié d'abord au Puy, après avoir reçu de nombreuses améliorations dans plusieurs éditions succeszives, a été, en 1851, revêtu de l'approbation de Mgr l'évêque du Puy, et de Son Eminence le cardinal archevêque de Lyon : Nous désignerons ce volume très-estimé, par le nom de Manuel de Lyon; c'est là qu'il a été édité en dernier lieu.

3o A Cambrai, a paru un Manuel approuvé par Mgr l'archevêque de ce diocèse, el revétu de l'approbation de la sacrée congrégation des Indulgences.

4 Mgr de Limoges, a fait aussi un Recueil d'instructions sur le même sujet, que nous appellerons Manuel de Limoges.

DICTIONN. DES INDULGENCES.

5° Enfin, et surtout, nous avons puisé dans le Raccolta ou Recueil des indulgences, publié à Rome, traduit en français à Lyon, et revêtu des approbations de la sacrée congrégation même; ouvrage qu'il ne faut pas confondre avec le livre qui porte le même nom, et qui a été imprimé à Besançon.

Lorsqu'il y a divergence d'opinions entre des autorités considérables, ou lorsqu'il est bon d'appeler l'attention sur une question grave, nous reproduisons les passages des unes et des autres qui y sont relatifs.

Si, contre notre attente, malgré toutes nos recherches, et en dépit de notre intention de n'émettre rien que de vrai, de parfaitement authentique, nous avions avancé quelque chose d'inexact, nous le rétractons. Avons-nous besoin d'ajouter que nous condamnons formellement tout ce qui pourrait y être contraire à la doctrine de l'Eglise ?

Enfin, ferons-nous observer que, comme Mgr Bouvier, « nous ne prétendons pas détailler toutes les indulgences qui existent, et sur l'authenticité desquelles il ne peut s'élever aucun doute que notre intention est de nous borner à celles qui sont à la portée du plus grand nombre des fidèles, et surtout de fournir àux ecclésiastiques les documents dont ils auraient besoin pour leur propre satisfaction et pour se mettre dans le cas de répondre aux questions qu'on leur ferait? »

Quant au plan de notre Dictionnaire, il nous était tracé naturellement. Evidemment, avant de présenter par ordre alphabétique les indulgences particulières, nous devions dire ce que sont les indulgences et les confréries en général; présenter dans ces chapitres préliminaires l'institution divine, les avantages, la nature, l'histoire des indulgences, des confréries, etc.; montrer la futilité des arguments qu'opposaient à cette sainte doctrine, ceux qui pouvaient bien dire avec l'hérésiarque leur maître : « Aussi vrai que le Seigneur Jésus-Christ m'a racheté, j'ignorais complétement ce qu'est l'indulgence.» (Luther, Woels' che ausgabe, 1. xvii, p. 1704.) Nous nous sommes appuyé pour cette partie sur les théologiens ou les prédicateurs les plus graves. Une table placée à la fin présentera le sommaire de ces chapitres essentiels.

Qu'il nous soit permis, en terminant cette simple note, de répéter en notre nom ces lignes si judicieuses et si vraies, qui commencent l'un des recueils que nous citons, et sur lesquelles nous appelons l'attention de ceux qui prendront ce livre entre leurs mains

« Quel trésor inestimable aux yeux de la foi, que celui des indulgences! Si jusqu'à ce jour il fut trop négligé, ce trésor, c'est tout simplement parce qu'il a toujours été trop peu connu. Ce n'est ni la foi, ni la piété qui manquent à tant de fervents chrétiens dont la France s'honore, et dont les vertus n'ont fait que s'épurer au milieu des plus rigoureuses épreuves. Nous avons la consolation d'en voir un grand nombre dans tous les rangs de la société, et si ces personnes-là même, quelque avides qu'elles puissent être des richesses spirituelles, restent cependant comme étrangères aux bienfaits des saintes indulgences, n'en cherchons pas ailleurs la cause, c'est qu'elles manquent à cet égard d'une instruction suffisante.

« Nous ne saurions nous étonner, jusqu'à un certain point, de cette ignorance presque générale par rapport aux saintes indulgences, que nous déplorons ici : car, il faut en convenir, peu de nos livres de piété en parlent, les prédicateurs abordent rarement ce sujet, on en dit à peine quelques mots dans les instructions destinées à l'enfance; et parmi les personnes instruites d'ailleurs sur la religion, il en est malheureusement un trop grand nombre qui n'ont à cet égard que des idées vagues et confuses. Celles mêmes qui savent parfaitement tout ce que la foi nous enseigne sur les saintes indulgences, ignorent le plus souvent les diverses conditions requises pour en recueillir le fruit, et les œuvres auxquelles les souverains pontifes ont daigné les attacher. C'est là une des suites funestes de cette triste vérité que nous déposerons ici en passant : c'est qu'en France, nous sommes loin d'avoir des rapports assez directs et assez intimes avec le centre de l'Eglise catholique, le foyer des lumières véritables, la source d'où découlent tous les biens spirituels.

« Il faut le dire encore : quelques personnes égarées, plutôt que conduites par des intentions louables en elles-mêmes, mais peu éclairées, ont beaucoup contribué à refroidir ou à éteindre le zèle pour les indulgences, en en publiant des recueils puisés à des sources d'une très-équivo

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