Recueil des pièces de vers inserées au Bulletin de l'Académie Ebroïcienne pendant les années 1833, 1834 et 1835

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Académie ébroïcienne
Ch. Achaintre, 1835 - 350 strán (strany)
 

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Strana 47 - Sur cet album tout fraternel Vous m'honorez du premier chiffre; J'accepte ce rang solennel : Au fait, le tambour et le fifre Ont le pas sur le colonel ; Chantres et bedeaux, en campagne, Marchent en tête des prélats; Et le gros vin, dans nos galas, Circule avant les vins d'Espagne.
Strana 7 - Al'envi prenant leurs vacances, De leur métier tant soit peu las, Tous les chevaux des diligences Vont désormais croiser les bras. Vivent les chemins de fer, etc. Piqué des malheurs qu'il éprouve, L'actionnaire a dû penser Que dans du fer au moins l'on trouve Peu de chances de s
Strana 1 - Comme le cœur me bat quand j'approche du lieu Où cent fois par un temps superbe, Quand j'étais tout petit, je me roulais sur l'herbe! Maman venait me joindre, et disait : Prions Dieu. J'avais quatre ans alors, je commençais à vivre ; Un papillon passait, après lui de courir ; Et si je l'attrapais, de plaisir j'étais ivre; Je pleurais, dans ma main s'il venait à mourir. C'est le temps du...
Strana 2 - Je ne l'oublierai pas, la chaumière enfumée, Où, las, tout haletant, je revenais le soir, Et puis sur les genoux d'une mère alarmée, Je m'endormais content, en lui disant bonsoir. Mais bien jeune au tombeau ma mère est descendue,' Et son dernier adieu n'ai pu le recevoir!
Strana 48 - C'est l'accordeur qui se retire Lorsque arrivent les Rossini. Mais si mon esprit se récuse Et, de peur d'un revers choquant, Se tient à la porte du camp, Pendant le tournoi de la...
Strana 47 - II créa, ce fut son envie, D'abord les minéraux sans vie, Puis les fleurs, miroir du soleil, Et puis les animaux sans âme, Puis l'homme à lui-même pareil, Et puis, son chef-d'œuvre, la femme.
Strana 47 - D'abandonner leurs vestibules Au pinceau faible, aux toiles nulles, Et les Raphaël sont plus loin; Tout suit la loi de...
Strana 6 - En laissant comme toi la reine des cités. Ah ! lorsque la nature, à mes yeux attristés, Le front orné de fleurs, brille en vain renaissante, Lorsque du renouveau l'haleine caressante Rafraîchit l'univers de jeunesse paré, Sans ranimer mon front pâle et décoloré, Du moins, auprès de toi, que je retrouve encore Ce calme inspirateur que le poète implore, Et la mélancolie errante au bord des eaux.

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