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PRÉLIMINAIRES

<< In Scripturis Sanctis, sine prævio et monstrante viam, non potest ingredi ».

(S. Jérôme, Ep. ad Paulin.)

I

DÉFINITION ET DIVISION

I. Il n'est pas nécessaire de s'étendre sur l'utilité, disons mieux, sur la nécessité d'une Introduction à l'étude de la Bible. Celui qui entreprend la lecture d'un livre quelconque de l'Ecriture a vite senti le besoin d'un travail de ce genre. Certaines parties de la Bible sont sans doute plus abordables que les autres; mais presque toujours nos Ecritures présentent une foule de difficultés qu'il appartient à l'introduction seule, quand même on pourrait recourir aux commentaires les plus complets, de faire disparaître (1). Cette vérité devient encore plus évidente pour ceux qui s'occupent particulièrement de l'Ancien Testament. Rien, souvent, de plus compliqué et de plus difficile que son étude. Il y a plusieurs raisons à donner de ce fait. Les livres de l'Ancien Testament ont été écrits, pour la plupart, dans une langue peu étudiée en France (2); ils datent d'une époque fort éloignée de nous; ils proviennent d'une contrée et de temps sur lesquels nous ne possédons guère de renseignements (3). Les questions relatives à l'origine de ces livres, à leur histoire, aux circonstances qui les firent naître, les problêmes historiques, chronologiques et géographiques qu'ils soulèvent, tout cela est enveloppé d'obscurités

(1) V. les belles et solides remarques du P. de Valroger, Introduction au Nouveau Testament, Paris, 1860, 2 vol. in-8°, t. 1, préface, pp. xiij et suiv.

(2) V. là-dessus les remarquables réflexions de J.-B. de Rossi, De præcipuis causis et momentis neglectæ a nonnullis hæbruicarum litterarum disciplinæ disquisitio elenchica, Aug. Taurinorum, 1769, in-4°.

(3) Les découvertes historiques récentes ont beaucoup aidé à l'explication de nombreux passages scripturaires. Nous ne citerons les travaux consciencieux de dom Pezron, qui écrivait à une époque trop antérieure à ces découvertes, que parce que cet auteur avait eu une juste intuition de la méthode à suivre. Son Histoire évangélique confirmée par la judaïque et la romaine, Paris, 1696, 2 vol. in-12, son Essai de Commentaire littéral et historique sur les prophètes, Paris, 1693, in-12, sont des livres très estimables, quoique forcément arriérés. Il en est de même de Bullet, dont l'Histoire de l'établissement du Christianisme, tirée des INTROD. 1

SAINTE BIBLE.

sur certains points presque impénétrables. Les différents peuples qui eurent des rapports avec la nation Juive nous sont aussi encore trop peu connus, malgré le progrès des études et des recherches. Pour tous ces motifs, on comprend combien il a été aisé à la science rationaliste d'imaginer des hypothèses erronées, et de composer des romans qui prétendent défier une réfutation scientifique. Une étude sérieuse, assidue, prolongée, peut seule mettre à même de lutter contre cette école dont les livres ne se lisent pas et se font malgré cela partout citer (1). « Moins ils trouvent de lecteurs attentifs et patients, plus ils comptent d'admirateurs fanatiques. L'ennui qu'ils inspirent est précisément ce qui protège et conserve la renommée de solidité et de profondeur qu'on a su leur faire (2) ».

L'introduction biblique rend plus facile la lecture et l'étude de l'Ecriture Sainte. A ce point de vue encore son utilité est incontestable. Car, si, comme l'a dit saint Grégoire le Grand, la science des Ecritures est l'âme de la vraie théologie, qui pourra devenir théologien sérieux s'il n'est pas devenu, par une étude approfondie, intime avec le contenu des livres saints (3)? C'est d'eux que l'Église tire ses dogmes, c'est chez eux qu'elle va chercher la raison et le rapport de ces dogmes. Tous les Pères, tous les grands scolastiques, tous les théologiens illustres se sont adonnés spécialement à cette étude; on ne peut parcourir leurs œuvres sans remarquer aussitôt et sans admirer leur immense science scripturaire. L'histoire nous apprend aussi que les sciences théologiques ont langui et décliné toutes les fois que l'étude des livres saints a été négligée, et, qu'au contraire elles ont repris une vie nouvelle dès qu'on s'est remis à l'étude des Ecritures. C'est pourquoi le Concile de Trente avertit de bien prendre garde ne cœlestis ille sacrorum librorum thesaurus, quem spiritus sanctus summa liberalitate hominibus tradidit, neglectus jaceret » (4). On trouve chez les Pères la recommandation continuelle de ne pas négliger, même un seul jour, l'étude de la Bible (5).

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seuls auteurs juifs et païens, est encore à consulter, quoiqu'arriérée. Parmi les nombreuses éditions de cet ouvrage, citons celle de Paris, 1825, in-8°. Pour être complet, nous devons mentionner l'Histoire de l'Ancien et du Nouveau Testament par les seuls témoignages profanes avec le texte sacré en regard, ou la Bible sans la Bible, par M. Gainet, curé de Cormontreuil, Paris, 1866-1867, 5 vol. in-8°. Il y en a une seconde édition, Paris, 2 vol. gr. in8°. — Citons encore Mazzarolo, La Bibbia senza bibbia, Trevise, 1882, in-12; Kittredgl, Bible history in the light of modern research, 1883. Le seul ouvrage que nous voulions recommander est celui de M. Vigouroux, La Bible et les découvertes modernes en Palestine, en Égypte et en Assyrie, 2e édit., Paris, 1879-1882, 4 vol. in-12. Le livre du savant Sulpicien sera probablement toujours tenu au courant des découvertes les plus récentes. (1) Cfr. Valroger, op. cit., t. I, p. XV.

(2) Ibid. — Malheureusement d'habiles vulgarisateurs ont mis les résultats de ces écrits à la portée des lecteurs les moins compétents, et, en servant cette funeste cause, ils ont profondément nui à la vraie critique. On a rendu celle-ci responsable d'excès individuels qu'elle n'avait pas causés; on l'a raillée, méprisée, et la science intimidée n'a pas fait depuis lors les progrès légitimes qu'on attendait d'elle. Il est triste d'ajouter que la défense n'a pas toujours été ce qu'on devait espérer; parfois même on s'est contenté de railler et d'injurier quand il était nécessaire de réfuter. On trouvera souvent dans cette Introduction les noms des savants catholiques qui ont fait honneur à notre cause; quant aux autres, ils ne méritent même pas une mention!

(3) S. Thomas, Somme, 1a, q. 50, art. 5.

(4) Conc. Trid. Sess. V, De reformat. cap. I.

(5) V. S. Jérôme, dans Migne, Patrol. lat., t. XXII, c. 874, 404, 533; t. XXIV, c. 17; S. Augustin, De doctrina christiana, IV, 5, Migne, ibid. t. XXXIV, c. 92.

Et si l'on veut se mettre au point de vue de l'édification, où trouver de plus beaux enseignements, de plus sublimes leçons que dans la Bible ? Tous peuvent y chercher des aliments pour leur piété Divinus sermo, sicut mysteriis prudentes exercet, sic plerumque superficie simplices fovet. Habet in publico unde parvulos nutriat, servat in secreto unde mentes sublimium in admiratione suspendat. Quasi quidem quippe est fluvius, ut ita dixerim, planus et altus, in quo et agnus ambulet et elephas natet > (1).

II. L'introduction à l'Ecriture Sainte est l'étude scientifique des sujets qui préparent l'esprit à bien entendre les livres divins et à s'en servir correctement (2).

Elle comprend donc :

1o l'étude du dogme de l'inspiration de l'Ecriture (3);

2° celle de la canonicité des livres saints;

3o l'examen du texte et des versions scripturaires;

(1) S. Grégoire, Epist. ad Leand., IV, Patrol. lat., t. LXXV, col. 515. — Cfr. S. Augustin, Epist. 137 ad Volusian., Patrol. lat. t. XXXIII, c. 524.

(2) Nous adoptons, en la modifiant légèrement, la définition donnée par M. U. Ubaldi (Introductio in Sacram Scripturam ad usum Scholarum pont. Seminarii romani et Collegii Urbani de propaganda fide, 2 éd., Rome, 1882, 3 vol. in-8°, t. I, p. 1). — M. Bruston (art. Isagogique, dans l'Encyclopédie des sciences religieuses, publiée sous la direction de M. F. Lichtenberger, t. VII (1880), p. 22) donne une définition qui se rapproche beaucoup de la nôtre : l'introduction, dit cet auteur protestant, est « la portion de la science théologique qui a pour but de fournir aux lecteurs des écrits sacrés les connaissances préliminaires indispensables ou du moins fort utiles à l'intelligence de ces écrits ». Un autre théologien protestant, M. Sabatier (ibid., p. 36) la définit : « une science qui emprunte sa méthode et sa forme à l'histoire littéraire générale, mais reçoit son objet de l'Église. Elle a pour but l'étude historique et critique du Canon de l'ancien et du nouveau Testament et des livres qui le composent ». Cette définition est d'un côté trop restreinte; de l'autre elle senible viser à réunir les vues orthodoxes et rationalistes sur la Bible et sur l'introduction biblique. A tous ces titres, nous ne pouvons l'accepter. Il y a des définitions plus courtes dans M. Gilly (Précis d'introduction générale et particulière à l'Écriture Sainte, Nimes, 1867, 3 vol. in-12, t. I, p. 1) et dans M. Vigouroux (Manuel biblique, 2e éd., Paris, 1881, in-12, t. I, p. 23). Notre définition diffère surtout de celle des deux savants auteurs, par l'addition du mot scientifique. Nous l'avons introduit pour montrer, d'une manière plus frappante, l'importance des recherches scientifiques dans les études bibliques. - Nous ne pouvons accepter la définition proposée par Keil (Lehrbuch des... Einleitung, Francfort, 1853, in-8o, §. 1): << l'introduction historique-critique est la science des bases historiques du Canon biblique ». Il y autre chose à chercher dans une Introduction que les preuves de canonicité de l'Écriture. Keil l'a du reste senti, et son plan est beaucoup plus vaste que sa définition ne le laisse supposer. Kaulen (Einleitung, 1to Haelfte, §. 4) adopte une définition presque analogue : « L'introduction est, dit-il, une démonstration du caractère divin et canonique de la Sainte Écriture ». La remarque que nous venons de faire sur la définition de Keil s'applique à celle de Kaulen. Cfr. les réflexions d'Ubaldi, op. cit., p. 9. Pour Hævernick (Handbuch der historisch-kritischen Einleitung in das Alte Testament, 2e édit. donnée par Keil, Francfort, 1854, in-8° t. I, Allgemeine Einleitung, §. 1) l'introduction biblique n'est qu'une partie de l'histoire de la théologie. Cette définition nous semble inacceptable au point de vue catholique ; elle ne s'explique même guère chez un auteur qui admet complètement l'inspiration biblique. Elle est pourtant admise par Reithmayr (V. le P. de Valroger, Introduction... aux livres du N. T., t. I, p. 6).

(3) Quelques auteurs récents ne veulent pas admettre dans une Introduction à la Bible ce qui concerne l'inspiration. Ce chapitre, disent-ils, appartient à la théologie dogmatique. Mais l'auteur d'une Introduction, à qui n'incombe pas la démonstration positive de l'origine divine des livres, entrerait sur un terrain qui n'est pas le sien, s'il voulait s'occuper de l'inspiration. Il nous semble que c'est se faire une idée fort étroite de l'Introduction. Telle que nous la définissons, elle comprend nécessairement la doctrine de l'inspiration.

4o les règles et les principes de l'interprétation biblique, ou l'herméneutique ;

5o l'archéologie biblique, comprenant la chronologie et la géographie (1). Le nom d'Introduction (isay, Isagoge, introductio) est depuis longtemps entré dans la langue ecclésiastique. Dès le milieu du cinquième siècle, le moine Adrien avait intitulé son ouvrage sur l'Ecriture εἰσαγωγὴ εἰς τὰς θείας ypapás (2). Au siècle suivant, Cassiodore (mort après 562) appelle ses deux livres de institutione divinarum litterarum « introductorii libri » ; ceux qui l'ont précédé dans cette étude sont pour lui« introductores scripturæ divinæ (3). Ce mot a été quelquefois remplacé par l'expression: Clavis S. Scripturæ, qui est due à Méliton de Sardes (vers 170), auteur d'une sorte d'introduction ayant pour titre zλsis (4). On a encore donné aux travaux d'introduction les titres d'Officina biblica, Apparatus biblicus (5), de Prolegomena, Præloquia, d'Adagia Sacra, d'Hypotypotes, de Thesaurus.

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III. Il va de soi qu'il faudrait dans une Introduction établir d'abord l'authenticité des livres saints contre leurs détracteurs; mais cette partie spéciale existe dans cette Bible pour chaque auteur, en tête des commentaires consacrés à ses écrits; nous n'avons pas, par conséquent, à nous en occuper ici. Le lecteur voudra bien se reporter sur ce point à la préface particulière de chacun des livres de l'Ancien et du Nouveau Testament.

IV. L'introduction biblique n'est pas simplement une histoire de la littérature scripturaire (6). Dans l'histoire de la littérature profane, il est nécessaire de rechercher l'authenticité, et d'examiner avant tout le style des auteurs que l'on étudie. Mais dans l'Introduction biblique, ces questions sont subordonnées à celle de la vérité divine, qui trouve pour s'exprimer des manières particulières. Si l'histoire littéraire doit s'enquérir des conditions qui ont influencé les auteurs dont elle s'occupe, et des circonstances où s'est exercée leur activité intellectuelle, l'Introduction biblique doit examiner un autre élément d'action, l'influence divine qui se manifeste et dans chaque écrivain et dans la collection de leurs œuvres. L'introduction est donc une élucidation historique, non seulement de l'origine humaine et extérieure, ainsi que des caractéristiques des livres saints, mais encore de leur caractère sacré et de l'opération du SaintEsprit qui les a inspirés, non moins que de la providence qui a veillé à leur

(1) Cette division, adoptée par MM. Gilly, Vigouroux, etc., nous semble de beaucoup la plus simple et par conséquent la meilleure. C'est celle que nous suivrons, en modifiant quelque peu les subdivisions. Beaucoup d'auteurs détachent de l'Introduction ce qui concerne l'archéologie. C'est ce qui se fait habituellement en Allemagne, et ce qu'ont suivi Hævernick et Keil. Mais, comme le dit M. Gilly (Précis., t. I, p. 2), c'est ordinairement afin de pouvoir traiter cette partie avec plus d'étendue. En Angleterre, dit le même auteur, ibid., les introductions générales de T.-H. Horne et de J. Dixon séparent de l'introduction proprement dite la géographie, l'archéologie, l'herméneutique et même la critique biblique. (2) Migne, Patrol. grecq., t. XCVIII, col. 1273 et suiv.

(3) Migne, Patrol, lat., t. LXX, col. 1122.

(4) Cfr. S. Jérôme, De viris illustribus, c. XXIV. Le Card. Pitra a édité cette Clef dans le Spicilegium Solesmense, t. II et III. Nous n'avons pas à nous occuper de son authenticité. (5) Ainsi le P. Lamy, V. plus bas.

(6) Haevernick, op. cit. §. 2.

préservation (1). Il ne faut point penser que les rapports de l'introduction avec la théologie dogmatique réduisent la science scripturaire à une condition inférieure; elles donnent au contraire le seul mode d'interprétation possible et juste (2). Ne pas considérer les documents bibliques sous un aspect religieux, c'est annoncer, dit très bien Haevernick (3), l'intention de les traiter d'une manière irréligieuse, et, tout en professant l'impartialité, embrasser un parti. C'est en réalité une tromperie; car c'est vouloir séparer ce qui est étroitement uni, et envisager la Bible « comme un pur phénomène historique, sur le même pied que les autres phénomènes similaires (4): loin de là en effet, son caractère divin, en tant que révélation, fait partie du phénomène historique qu'elle présente. Il est donc nécessaire de conserver à une introduction biblique le caractère dogmatique qui y est profondément gravé (5).

Nous voulons donc, dirons-nous avec Reithmayr (6), traiter l'Introduction aux saintes Ecritures comme une science théologique. Il serait possible (c'est ce qu'on fait depuis longtemps hors de l'Eglise) de s'en tenir ici aux principes généraux de la critique historique, et d'adopter exclusivement les procédés employés pour la littérature profane. Mais nous ne devons pas perdre de vue la relation particulière de l'Ecriture sainte avec l'Eglise et l'ensemble de la doctrine; nous ne devons pas négliger les conséquences décisives qui en ressortent, et dominent l'Introduction biblique.

D'abord c'est l'Eglise catholique qui nous fournit les livres saints, objet de notre science. L'autorité de l'Eglise influera donc nécessairement d'une manière déterminante sur notre science, et lui donnera, dans sa direction, son développement et sa fin, un caractère positif. Nos recherches

(1) C'est à cause de ces considérations qu'avec Haevernick, 1. c., nous rejetons le nom d'Histoire littéraire de l'ancien et du nouveau Testament. Ce titre peut en effet entraîner des méprises. Peut-être a-t-il été amené par les Histoires critiques de R. Simon. En tous cas, il a été proposé, de notre temps, par Hupfeld, Studien und Kritiken, 1830, p. 247. Parmi ceux qui l'ont employé, nous citerons Noeldeke, Histoire littéraire de l'Ancien Testament, traduit de l'allemand par H. Derenbourg et J. Soury, Paris, 1873, in-8°. Quelques lignes de l'auteur montrent du reste les tendances auxquelles il obéit : « Voilà longtemps qu'on est habitué à regarder l'ancien Testament comme une œuvre purement humaine. Quant au Nouveau Testament, dont l'autorité canonique n'a cependant ses racines que dans l'Ancien, on croyait devoir le considérer d'un tout autre œil. Strauss et l'école de Tubingue ont fini par faire triompher là aussi les droits de la science. Certes je m'estimerais heureux si mon livre pouvait contribuer à répandre la conviction que, en pareille matière, il n'y a que deux points de vue admissibles, celui de la science et celui de la foi, et que tout essai de conciliation entre ces deux manières de voir, tout moyen terme, tout compromis, est un mal » (p. iij). Nommons encore M. E. Reuss; sa Geschichte der heiligen Schriften Alten Testaments, Brunswick, 1882, in-8°, est écrite complètement dans le même esprit. Sa traduction de la Bible, du titre de laquelle il a retranché l'épithète de Sainte, pouvait faire prévoir cette manière de traiter les questions d'introduction. Cfr. Drechsler, das Unwissenschaftlichkeit im Gebiete der Alttestamentlichen Kritik, Leipzig, 1837, in-8°.

-

(2) Haevernick, ibid. L'Église traite avec le même respect et l'Écriture et la Tradition. (3) Ibid.

(4) De Wette, Einleitung ins Alt. Test., §. 4.-M. M. Vernes, Mélanges de critique religieuse, Paris, 1881, in-12, partage, cela va sans dire, ces idées, et combat violemment ce qu'il appelle un dogmatisme arriéré.

(5) Keil, l. c., fait observer que la prétention émise par l'école rationaliste de transformer l'Introduction historique critique en une Histoire littéraire est désastreuse pour la théologie protestante.

(6) Le P. de Valroger, Introduction... aux livres du N. T., t. I, pp. 7 et 8.

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