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2o Moyen âge. - L'époque n'est guère fertile au point de vue de l'introduction. « Les théologiens du moyen âge, dit M. Gilly (1), ne traitèrent pas l'introduction biblique comme une discipline particulière ; ils se contentèrent de toucher à certains points particuliers de cette science, dans leurs ouvrages dogmatiques exégétiques ». Cette assertion est trop générale. Nous pouvons citer quelques travaux (2) qui se rapportent à l'introduction (3).

Agobard, archevêque de Lyon (816-840) a écrit une lettre importante sur l'inspiration de l'Ecriture (4), où il combat l'inspiration verbale. Florus, prêtre de Lyon (mort vers l'an 862) est l'auteur d'une lettre sur la correction du Psautier, qui ne manque pas d'intérêt (5). Hugues de SaintVictor (1140) a donné une sorte d'introduction sous ce titre, De scripturis et scriptoribus sacris prænotationes (6). Abélard a laissé une lettre sur l'Etude de l'Ecriture, où il soutient que la connaissance de l'hébreu est nécessaire pour bien comprendre la Bible (7). Il faudrait une grande bonne volonté pour voir dans l'Histoire scolastique de Pierre Comestor une introduction biblique : les quelques érudits qui ont accepté cette donnée, à tout le moins bizarre, ne peuvent s'excuser qu'en avouant qu'ils ne sont guère familiers avec les sciences scripturaires (8)

Nous trouvons moins encore dans S. Bonaventure (9) et dans S. Thomas d'Aquin (10), ces deux grands docteurs scolastiques, un ouvrage quelconque ressemblant à une introduction.

L'exposition du franciscain Guillaume le Breton sur les Prologues de la Bible (11) répondrait plutôt à l'idée que nous avons d'une œuvre de ce genre; mais combien elle est imparfaite, malgré les éloges que lui a décernés Nicolas de Lyre (12) ! L'Introduction que ce juif converti a mise en tête de ses célèbres Postilles (13) traite des livres canoniques et non canoniques, des traductions bibliques, des règles d'interprétation à suivre (14). De tous les travaux isagogiques du moyen âge, c'est incontestablement le plus remarquable, à cause de la science hébraïque que l'auteur doit a son origine.

Au XVe siècle, Gerson donne, dans ses Propositiones de sensu litterali Scripturæ sacræ (15) quelques principes excellents d'herméneutique (16).

(1) Précis, t. I, p. 3.

(2) Nous ne citons pas Alcuin,dont seule la Disputatio puerorum, à cause de son chapitre VIII, mérite à peine d'être nommée. (Opp., Bâle, 1777, t. II, part. 2, pp. 418 et suiv.) (3) Nous empruntons le résumé qui suit à notre Essai sur l'histoire de la Bible dans la France chrétienne au moyen áge, Paris, 1878, in-8°.

(4) Patr. lat. t. CIV, c. 160 et suiv.

(5) Mai, Script. veter., t. III, p. 251.

(6) Patrol. lat., t. CLXXV.

(7) Essai sur l'histoire de la Bible..,, p. 39.

(8) Ibid., p. 59.

(9) Breviloquium, Præmium. V. l'édition donnée par Héfélé, Tubingue, 1845.

(10) Somme, 1a, q. 1, art. 9 et 10; 2a 2ae, q. 171 et suiv.

(11) Bibl. nat. mss., lat. 3085, fos 143-180; ib. ms. 8853-8858; etc.

(12) V. S. Berger, De glossariis et compendiis exegeticis quibusdam medii ævi, Paris 1879, in-8°, pp. 18 et suiv.

(13) Édit. originale, Rome, 1471-1472, 5 vol. in-fo.

(14) Essai sur l'histoire de la Bible..., pp. 96 et suiv.

(15) Opera, Paris, 1606, in-fo, t. I, p. 515.

(16) Vigouroux, Manuel, t. I, p. 258; Trochon, Essai sur l'histoire de la Bible..., p. 121.

Mais en face de cette œuvre de bon sens, que dire du fameux Mammotrectus (1), résumé de tout ce qu'un clerc du moyen âge pouvait juger utile de connaître ? On ne peut s'étonner si une compilation pareille a excité la verve railleuse des humanistes du xvIe siècle. Cependant,quoique le Mammotrectus ferme pour ainsi dire le moyen âge, il y aurait peu de justice à le considérer comme le résumé de la science scripturaire de cette époque.

30 Temps modernes. Vers la fin du XVe siècle, les études bibliques profitèrent de la renaissance des Lettres et commencèrent à reprendre une véritable vie. La littérature grecque, grâce à l'émigration en Occident d'une foule d'hommes instrults, prit un merveilleux essor, auquel se mêla par trop un levain de paganisme et de rationalisme qui devait insensiblement produire les résultats les plus désastreux» (2).

Survint la réformation du XVIe siècle qui imprima plus d'activité encore aux travaux scripturaires. Les Protestants, en effet, qui repoussaient le magistère de l'Eglise infaillible, et prétendaient trouver dans l'Ecriture la seule règle de leur foi, mirent tous leurs soins à étudier la Bible; ils dé ployèrent dans leurs études beaucoup d'érudition et d'ingéniosité; ils travaillèrent avec une subtilité savante à tirer des textes des appuis pour leurs doctrines. De leur côté, les catholiques, excités par l'ardeur de leurs adversaires, désireux de défendre la vérité et l'honneur de leur communion, s'attachèrent à réfuter les erreurs, à faire voir les défauts des nouvelles explications, à établir le dogme sur ses bases légitimes. Pour cela ils durent étudier, plus qu'on ne l'avait fait jusqu'alors, les Ecritures, et les examiner dans les moindres détails: cela les amena à chercher une méthode plus sûre et une exposition plus claire (3).

Alors parurent d'innombrables écrits se rapportant à l'introduction. Il est impossible de les énumérer tous, et il faut se borner à une tâche encore considérable, celle de citer les principaux ouvrages de ce genre.

A. AUTEURS CATHOLIQUES.

10 XVI-X VIIIe siècles. Le premier à citer dans l'ordre chronologique (4) est le dominicain Sanctius Pagnini (mort en 1536). On lui doit deux ouvrages qui se rapportent à notre sujet : 1o Isagoge in Sacras litteras (5), et 2o Isagoge ad mysticos S. Scripturæ sensus (6). Nous ne nous occupons pas ici de son Thesaurus linguæ sanctæ (7), dont Gesenius parlait à M. Quatremère avec admiration et enthousiasme : « Je ne

(1) S. Berger, op. cit., pp. 31 et suiv.

(2) M. Vigouroux, Manuel biblique, t. I, p. 259.

(3) U. Ubaldi, Introductio, t. I, p. 3.

(4) Le savant Cardinal dominicain Cajetan n'a écrit malheureusement que des Commentaires. Nous ne pouvons donc nous occuper ici de lui, mais nous le retrouverons ailleurs.

(5) Lyon, 1528, in fo; ibid, 1536, in-f.

(6) Cologne, 1540.

(7) Lyon, 1529 in-fo.

crois pas, disait-il, qu'il existe aujourd'hui en Europe un seul homme en état de refaire un tel livre

(1).

Driedo, mort en 1535, célèbre professeur de Louvain, a écrit un ouvrage de Ecclesiasticis Scripturis (2), solide, érudit, et qui présente un certain nombre d'hypothèses, plus ou moins hardies, dont plusieurs sont aujourd'hui généralement acceptées (3).

Sixte de Sienne, juif converti, devint dominicain (1520-1569), après avoir été franciscain et dénoncé à l'inquisition : il avait dû la vie à Michel Ghisleri qui devint pape sous le nom de Pie V (4). On lui doit deux ouvrages importants: 1o Ars interpretandi Scripturas sacras absolutissima (5); 20 Bibliotheca sancta ex præcipuis catholicæ Ecclesiæ auctoribus collecta (6). Cette bibliothèque, divisée en huit livres, traite des auteurs des livres saints, de ces écrits eux-mêmes, de la manière de les traduire et de les expliquer; elle renferme un catalogue de tous les interprètes, à partir de l'an 300 avant l'ère chrétienne. L'érudition de ce livre est tout à la fois sérieuse et abondante.

Cornelius Mussus (mort en 1574) a écrit trois livres de divina historia (7), qui sont, d'après Possevin, remplis d'érudition, et d'après d'autres critiques, n'ont pas grande valeur (8).

Les Prolégomènes qu'Arias Montanus (mort en 1598) a insérés dans sa Polyglotte (9) peuvent être considérés comme formant une introduction: ce jugement s'applique surtout à ses antiquités judaïques, divisées en neuf livres, où il traite de nombreuses questions relatives à l'histoire, à la géographie, à l'archéologie et à la langue des Hébreux (10).

Nous trouvons ensuite les quarante-trois Prolegomena biblica (11) du jésuite Alph. Salmeron (12), ouvrage érudit, mais manquant parfois de critique et de méthode. Un autre jésuite, le Lorrain Sérarius (mort en 1609) a déployé beaucoup de science et de jugement dans ses Prolegomena biblica (13); on ne lui reproche que de s'étendre trop sur des questions inutiles (14). Les ouvrages de Bellarmin (mort en 1621) méritent les

(1) Journal des Savants, 1844, p. 201. Mais il y a loin de là à dire que Gesenius a beaucoup emprunté à cet ouvrage. La réputation de S. Pagnini est fortement attaquée par F. Delitzsch, dont, pour être impartial en montrant les deux côtés de la question, nous croyons utile de citer le jugement : « Omitto, quanta ecclesiæ ignavia ex eo conspiciatur, quod Santes Pagninus Dominicanus in Italia, Reuchlino ætate paullum inferior, primus post Hieronymum integrum codicem hebraicum in latinum sermonem transtulit, Quimchii libro radicum, quem passim male intellexit, adjutus. » (Jesurun sive Prolegomenon in concordias Veteris Testamenti a J. Fuerstio editas libri tres, Grimmæ, 1830, in-8°, p. 18).

(2) Dans ses (Euvres, Louvain, 1555-1558, 3 vol. in-fo.

(3) V. R. Simon, Ribliothèque critique, Amsterdam, 1708, in-12, t. II, pp. 1-26.

(4) Hurter, Nomenclator literarius, Eniponti, 1871 et suiv., in-8°, t. I, p. 61.

(5) Venise, 1566.

(6) Venise, 1566, 2 vol. in-fe, Réimprimée bien des fois. La meilleure édition est celle de Naples, 1742, 2 vol. in-fo; elle est due au dominicain Milante.

(7) Venise, 1585, 1587.

(8) Hurter, op. cit., t. I. p. 67.

(9) Anvers, 1572, 8 vol. in-f°.

(10) R. Simon, Hist. crit. du Vieux Test., p. 545, est assez sévère pour cet ouvrage. (11) Dans ses Opera, Madrid, 1598, in-fo, t. I.

(12) Mort en 1585.

(13) Mayence, 1604.

(14) R. Simon, ibid., pp. 430, 455. Baronius appelait ce jésuite la lumière de l'Église d'Allemagne, Ann. eccl., ad ann. 1126, n. 18.

mêmes éloges. Le Traité de Verbo Dei, qui forme le premier livre des Disputationes de controversiis christianæ fidei (1), montre que l'auteur était pleinement au courant des questions qu'il traitait; les quelques défauts de ce grand travail doivent être mis sur le compte de l'exagération qu'entraîne souvent la discussion (2). Les Præloquia in S. Scripturam dont Bonfrére, jésuite lui aussi (mort en 1642), a fait précéder son commentaire sur le Pentateuque (3), méritent d'être lus; l'auteur y montre un très grand bon sens (4), appuyé sur une véritable érudition.

Dans les ouvrages de l'oratorien Jean Morin (1591-1659), beaucoup de questions d'introduction sont traitées; nous remettons à en parler au chapitre qui traite des versions de la Bible (5). Joseph de Voisin (mort en 1685), qui a publié, le premier, le Pugio fidei du dominicain Raymond Martin, a laissé aussi un livre intitulé de Lege divina secundum statum omnium temporum usque ad Christum et regnante Christo (6): il y traite de la loi écrite, de ses divisions, des traductions de l'Ecriture, de l'intégrité du texte hébreu.

Voisin, qui était fort compétent en hébreu, n'a pas su s'éleverici au-delà d'une science très ordinaire.

C'est avec Richard Simon (1638-1712) que l'Introduction est pour la première fois traitée à part, avec l'importance qu'elle mérite, et comme une branche séparée de la science des Ecritures. L'Histoire critique du vieux Testament (7) fit révolution dans le monde des érudits. L'œuvre est parfois téméraire, quoique quelques-unes des théories et hypothèses de Simon aient été plus tard justifiées et acceptées; mais certainement elle était loin de mériter l'accueil que lui firent les Jansénistes, implacables ennemis de l'Oratorien, et, à leur instigation peut-être, l'illustre Bossuet. En tous cas, les Histoires critiques du texte (1689), des versions (1690) et des commentateurs (1693) du Nouveau Testament sont un ouvrage des plus importants. Un savant catholique allemand a pu dire: Il est devenu une mine, et, sous le rapport de la forme, un modèle pour tous ceux qui l'ont suivi... On ne peut pas trouver beaucoup à redire à la manière dont Richard Simon appliqua ses principes à l'Histoire du texte du Nouveau Testament (8) ». Cet auteur ajoute: En général il est à regretter que l'on n'ait pas suivi, du côté des catholiques, le mouvement imprimé à la science

(1) Rome, 1581.

(2) R. Simon, op. cit., p. 456. Cfr. l'éloge curieux du savant cardinal, fait par J.-F. Reimmann, Catalogus bibliothecæ theologica, Hildesiæ, 1731, in-12, t. I, p. 472. (3) Anvers, 1625, in-fo. Tournemine (1661-1739) les a reproduits dans son édition des Commentaires de Ménochius, Paris, 1709, 2 vol. in-fo; mais il n'a pas assez soigné la correction des mots hébreux qui s'y trouvent cités.

(4) R. Simon, op. cit., p. 455.

(5) La liste des écrits de Morin est dans E. Dupin, Nouvelle Bibliothèque des auteurs ecclésiastiques, éd. d'Amsterdam, in-4o, t. XVII (1711), pp. 227 et suiv. — V. aussi le P. Ingold, Essai de Bibliographie oratorienne, Paris, 1882, gr. in-8o, pp. 112 et suiv.

(6) Paris, 1650, in-8°.

(7) Rotterdam, 1685, in-4°. L'édition originale, Paris, 1678, fut détruite, et il n'en reste que deux ou trois exemplaires. V. la curieuse et complète bibliographie de Simon donnée par M. A. Bernus, Notice bibliographique sur R. Simon, Bâle, 1882, in-8°. Pour l'appréciation de ses écrits, V. notre opuscule, R. Simon et la critique biblique, Rouen, 1868, in-8°.

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(8) Reithmayr, Introduction au N. T. dans le P. de Valroger, op. cit., t. I, p. 20. - On peut voir un jugement un peu plus sévère dans Hurter, Nomenclator litterarius, t. II, pp. 739-740.

par R. Simon. On pouvait garder ce qu'il y avait de bon chez cet habile critique, sans adopter ses erreurs. On eut sans doute opposé ainsi une digue plus forte à l'invasion de la critique négative, qui se développa peu après dans les écoles protestantes (1)». Paroles très justes, ainsi qu'en jugera quiconque est familier avec l'oeuvre de Simon.

Les protestants étaient peut-être trop attachés à la lettre de l'Ecriture (2); ils la considéraient trop comme un recueil surnaturel en dehors des lois de l'histoire, pour arriver d'eux-mêmes à une conception historique de la formation du Canon biblique. Les catholiques, au contraire, qui avaient dans la tradition le principe de leur foi religieuse et considéraient la Bible comme la manifestation même de cette tradition, étaient beaucoup mieux placés pour faire rentrer le recueil sacré dans le courant de l'histoire, rattacher les livres aux temps et aux événements particuliers et saisir le développement historique qu'ils expriment et résument. C'est ce que fit avec un rare génie Richard Simon, dans ses deux grands ouvrages: Histoire critique du Vieux Testament, Histoire critique du Nouveau Testament. Ces titres seuls renfermaient déjà tout le programme que la critique biblique, depuis lors, s'est efforcée de remplir. Richard Simon n'a pas seulement fixé le programme et inauguré la méthode de la critique sacrée ; il en a fait une première et magistrale application, qui est encore pour nous un sujet d'étonnement en même temps qu'un admirable modèle. Ses Histoires critiques n'étaient pas seulement de cent cinquante ans en avance sur leur siècle; elles n'ont pas encore vieilli et l'on en pourrait donner, comme l'a dit M. Renan, une édition avec des notes modernes, qui serait le meilleur et le plus utile des manuels (3) ».

Un choix de ses lettres ne serait pas non plus inutile, et offrirait un grand intérêt. Il n'y a guère de sujet d'érudition que Simon n'ait traité avec profit pour ses lecteurs. Pourquoi l'a-t-on si oublié, si dédaigné (4)?

Après Simon, dont les efforts ne furent ni encouragés ni continués, la

(1) Ibid., p. 21.

(2) Ils ont bien changé !

(3) A. Sabatier, La critique biblique et ses origines en France, dans la Revue politique et littéraire, 17 novembre 1877, p. 463.

(4) Les ouvrages de Bossuet y ont beaucoup contribué. La Défense de la Tradition et des Saints Pères, Paris, 1753, in-4o, fut écrite spécialement contre l'Histoire critique des principaux Commentateurs du N. T., Rotterdam, 1693, in-4°. Bossuet y trouva le sémipélagianisme et la négation du péché originel. Sur quoi le jésuite Gener fait les observations suivantes : « Profecto (nisi mea fallit memoria et diligentia) nusquam Simonius in suo tractatu diserte negavit peccatum originis, aut quidquam ex propria sententia constituit contra veram rationem hujus peccati ipsiusque propagationem; nec usquam Bossuetus in suo vel unum decretorium attulit textum ex Simonio, qui oppositum ad evidentiam concluderet, sed ea durtaxat produxit argumenta quæ idipsum mea opinione probabiliter utrumque suaderent, minime vero persuaderent ac convincerent... » Theologia dogmatico-scholastica, Romæ, 1767-1777, in-4o, t. III, p. 360. Pour achever de rattacher à l'Église la mémoire d'un homme qui, malgré ses défauts personnels, l'a énergiquement et habilement défendue, on nous permettra quelques autres citations. M. Glaire (Introduction aux livres de l'A. et du N. T., Paris, 1843, in-12, t. I, p. 423) dit : « Le grand évêque de Meaux, on est forcé d'en convenir, est allé quelquefois dans sa censure au-delà du vrai. » Le Dr Dannecker (Dictionnaire encyclopédique de la théologie catholique, tr. Goschler, t. XXII, pp. 160 et suiv.) montre très clairement que le système de R. Simon ruine par la base le principe protestant. Le Dr Welte (ibid., t. XI, p. 488) écrit que Simon « a ouvert la voie véritable à l'introduction biblique... Ses travaux ont été appréciés plus tard et sont devenus la règle des recherches cri

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