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spect auraient pourtant épargné des erreurs et prévenu des dommages En effet il faut bien se garder de ce jugement dédaigneux de l'oreille qui repousse tout d'abord un terme inaccoutumé, et le rejette parmi les archaïsmes et, suivant l'expression méprisante de nos pères, parmi le langage gothique ou gaulois. Pour se guérir de ce dédain précipité, *) il faut se représenter que chacun de nous, même ceux dont la lecture est le plus étendue, ne possède jamais qu'une portion de la langue effective Imposer à la langue des règles tirées de la raison générale et abstraite telle que chaque époque conçoit cette raison, conduit facilement à l'arbitraire. Un dictionnaire historique coupe court à cette disposition abusive... La disposition commune à tous les articles est la suivante: le mot; la prononciaton; la conjugaison du verbe, si le verbe a quelque irrégularité; la définition et les divers sens classés et appuyés, autant que faire se peut, d'exemples empruntés aux auteurs des dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles; des remarques quand il y a lieu, sur l'orthographe, sur la signification, sur la construction grammaticale, sur les fautes à éviter etc.; la discussion des synonymes en certains cas; l'historique, c'est-à-dire la collection des exemples depuis les temps les plus anciens de la langue jusqu'au seizième siècle inclusivement, exemples non plus rangés selon les sens, mais rangés suivant l'ordre chronologique; enfin l'étymologie.... Un travail ainsi conçu se fait en ce moment même en Allemagne. Deux célèbres érudits, les frères Grimm, ont entrepris de donner à leur pays un dictionnaire historique de sa langue. Cette grand epublication, commencée depuis quelques années, se poursuit avec succès, non obstant le malheur qui vient de la frapper et de fui enlever un des deux frères. “**)

Ueber sein Verhältniss zum dictionnaire de l'Académie, dem Passbureau der französischen Sprache, dem Wörterbuch der Salons, dem Wächter der Correctheit und Eleganz, sagt Littré: „Quand, en 1696, l'Académie française prit le rôle de lexicographe, elle constitua, à l'aide des dictionnaires préexistents et de ses propres recherches, le corps de la langue usuelle. Ce corps de la langue, elle l'a, comme cela devait être, reproduit dans ses éditions ultérieures, laissant tomber les mots que l'usage avait abandonnés et adoptant certains autres qui devaient à l'usage leur droit de bourgeoisie. On peut ajouter que, dans la dernière édition qui date de 1835, ellea conservé certains mots plus vieux et plus inusités que d'autres qu'elle a rejetés. Quoiqu'il en soit, ce corps de langue a été rigoureusement conservé dans mon dictionnaire; il n'est aucun mot donné par l'Académie qui ne se trouve à son rang. Mais, comme la nomenclature a été notablement augmentée, comme il est toujours curieux de savoir si un mot appartient à la nomenclature de l'Académie, et qu'il est quelquefois utile d'en être informé quand on parle, ou qu'on écrit, enfin comme cette notion est exigée par certaines personnes qui se font un scrupule d'employer un terme qui n'ait pas la consécration de ce corps littéraire, j'ai eu soin de noter par un signe particulier tous les mots qui sont étrangers au dictionnaire de l'Académie. Ces additions sont considérables et proviennent de diverses sources..... Le dietionnaire de l'Académie n'entre point dans ce genre de recherches, ou, pour mieux dire, il obéit à une toute autre considération, qui, sans pouvoir être dite arbitraire, n'a pourtant aucun caractère d'un arrangement, rationnel et méthodique. Cette considération est le sens le plus usuel du mot: l'Académie met toujours en premier rang la signification qui est la principale dans l'usage, c'est-à-dire celle avec laquelle le mot revient le plus souvent

*) Auch für die sogenannte „vornehme Gesellschaft" in Deutschland sehr beherzigenswerth!

**) Wenige Monate nachdem Littré dies schrieb, wurde auch der ältere Bruder der Wissenschaft entrissen.

soit dans le parler, soit dans les écrits. Quelques exemples montreront comment elle procède. Dans le verbe avouer, la première signification qu'elle inscrit est confesser, reconnaître; mais sachant que avouer est formé de voeu, on comprend que tel ne peut pas être l'ordre des idées.... N'oublions point que ce n'est pas un caractère permanent pour une signification, d'être la plus usuelle; les exemples des mutations sont fréquents. Ranger d'après une condition qui n'a pour elle ni la logique, ni la permanence, n'est pas classer....“

Es scheint, dass die Academie in den letzten Jahren sich auch an die Ausarbeitung eines geschichtlichen Wörterbuchs gemacht hat. Littré sagt hierüber: je dirai, en parlant du dictionnaire historique préparé par l'Académie française, que le plan qu'elle suit et le mien ne se ressemblent nullement. D'ailleurs l'illustre compagnie n'a encore publié qu'un fascicule comprenant seulement les premiers mots de la lettre A. Es ist gewiss ein grosser Fortschritt, dass die Franzosen anfangen, sich von der Vormundschaft einer vertrockneten Zunft zu befreien, die auf die Sprache stets nur verderblich einwirkte. Die Idee einer solchen Sprachpolizei konnte auch nur im Kopfe eines Richelieu, eines Feindes jeder freien Entwicklung entstehen, und nur bei einem Volk Anklang finden, das sich so leicht von falschem Glanze blenden lässt. Ich kann hier diese Bemerkung nicht zurückhalten, da es leider sogar in Deutschland Leute gibt, die sich nach einer Copie der französischen Akademie sehnen und das siècle de Louis XIV bewundern, Leute, für welche das strenge, aber wahre Urtheil Lessing's und Schiller's spurlos verhallte.

Bei der Aussprachebezeichnung findet sich Littré häufig im Widerspruche mit der herrschenden Mode und meist mit grossem Rechte. Es ist ein Laster der Franzosen und der tonangebenden Pariser insbesondere, die Gesetze der Aussprache den willkürlichen Launen von Leuten zu unterwerfen, die sich mit ihren steten Neuerungen im Modejournal begnügen sollten. Littré verdient alle Anerkennung diesem Laster entgegenzutreten; aber die Macht der Mode ist leider stärker als die Stimme der Wissenschaft, und so wird es ihm z. B. nicht gelingen, die Aussprache des 1 mouillé (das jetzt statt lj nur j gesprochen wird) wieder in's Leben zu rufen.

Die grammatischen Erläuterungen, welche Littré häufig beigefügt hat, sind durchweg mit Klarheit und Verständlichkeit abgefasst. Doch ist die Grammatik stets die schwache Seite der Franzosen geblieben und z. B. die Darstellung der Präpositionen, wo sie als Stellvertreter der Casus auftreten, ist selbst bei Littré ungenügend. (Siche die Artikel de, des).

...

Der wichtigste Theil des Werkes, und womit Littré in Frankreich allein dasteht, ist das Gebiet des Geschichtlichen: „Je donne le nom d'historique à une collection de phrases appartenant à l'ancienne langue. Pendant que, dans l'article consacré à l'usage présent, les acceptions sont rigoureusement classées d'après l'ordre logique, c'est-à-dire en commençant par le sens propre et en allant aux sens de plus en plus détournés, ici tout est rangé d'après l'ordre chronologique. Le principe de succession prévaut sur le principe de l'ordre des significations; ce qui importe, c'est de connaître comment les emplois se succèdent les uns aux autres et s'enchaînent. D'un coup d'oeil on saisit toute cette filiation; et, allant de siècle en siècle, on voit le mot tantôt varier d'usage, de signification et d'orthographe, tantôt se présenter dès les plus hauts temps à peu près tel qu'il est aujourd'hui." Ueber die Zeitbestimmung der Entstehung des Französischen dürfte die Angabe Littré's eine kleine Einschränkung erleiden. Die Eidformel der Söhne von Louis le Débonnaire (842) kann man nicht wohl französisch nennen, sie ist noch lingua romana rustica oder lateinische Vulgärsprache, und zwar derjenige Dialect derselben, die man langue d'oïl genannt hat; wohl aber lässt sich in dem chant d'Eulalie der Charakter einer neuen Sprache erkennen, die sich im Rolandslied schon ganz von ihrer la

teinischen Mutter losgelöst hat. Ich benutze diese Gelegenheit, auf einen Druckfehler in meiner Bearbeitung der französischen Chrestomathie von Mager aufmerksam zu machen: das Rolandslied ist dort um ein Jahrhundert zu früh gesetzt. Von welchem Werthe für die Abstammung eines Worts die Anführung der Bedeutungen nach geschichtlicher Ordnung ist, zeigt Littré durch einige Beispiele: „Toutes les personnes familiarisées avec la latinité ne peuvent manquer d'être frappées du mot choisir très-voisin d'élire par le sens. Elire est, si je puis ainsi parler, du cru; il nous appartient par droit d'héritage; mais comment avons-nous l'autre, et quel estil? L'historique donne la réponse. En le suivant dans son ordre chronologique, on voit que choisir a le sens d'apercevoir, de voir, et n'a que ce sens; puis, peu à peu, à côté de cette signification fondamentale apparaît la signification d'élire, de trier; puis, entre les deux significations, le rapport devient inverse: c'est celle d'élire qui prédomine; l'autre n'a plus que de rares exemples; si bien qu'au seizième siècle, elle est un archaïsme, abandonné tout-à-fait dans le dix-septième. On comprend comment l'idée d'apercevoir s'est changée en une idée dérivée, celle de trier. A ce point, l'étymologie se présente sans conteste; et notre mot vient du germanique kansjan, voir, regarder (Nach Schuster-Regnier von lat. cadere) Danger peut encore être allégué comme un de ces mots que l'historique éclaire particulièrement. Avant toute histoire et toute ancienne citation, on a été porté à y voir un dérivé du latin damnum (so noch SchusterRegnier); par exemple, damniarium, d'où danger ou dangier. Mais d'abord l'idée de dommage n'est pas tellement voisine de celle de péril, qu'une simple conjecture, sans preuve de textes, suffise à établir le passage de l'une à l'autre. De plus, la langue du droit a, dans quelqu'un de ses recoins, conservé des emplois où danger ne signifie aucunement péril, mais signifie la défense qu'impose une autorité. Enfin, ce qui est décisif, l'historique élève deux objections fondamentales: la première, que la forme primitive est non pas danger, mais dongier ou donger; la seconde, quelle sens primitif est non pas péril, mais pouvoir, autorité, et, par suite, interdiction, défense. Il faut donc, quant à l'étymologie, ne considérer que cette forme et ce sens; on satisfait à l'une et à l'autre à l'aide du latin dominium, seigneurie, pouvoir, fournissant par dérivation la forme fictive dominiarium, ou la forme réelle dongier. On voit les conditions précises imposées à l'étymologie; il faut qu'elle soit explicative de la forme et du sens. Elle vient pour ces deux, forme et sens, d'expliquer dongier; il lui reste à expliquer danger. C'est une habitude beaucoup plus étendue dans l'ancienne langue, mais dont il reste des traces dans la moderne, de changer o des latins en a, on ou un en en ou an: ainsi dame, de domina; damoiseau de dominicellus; volenté de voluntas; mains pour moins; cuens pour coms (de comes, comte) etc. A cette catégorie appartient danger, qui figure dans les textes à côté de donger, et qui n'en est qu'une variante dialectique. Voilà pour la forme; quant au sens, on voit, en suivant la série historique, que vers le quatorzième ou quinzième siècle se trouve estre au danger de quelqu'un, qui signifie également être en son pouvoir et courir du péril de sa part. Là est la transition; dès lors le sens de péril devient prédominant; on oublie l'autre peu à peu, si bien que, quand l'ancienne et propre signification est exhumée des livres, on la méconnaît; et l'on douterait de l'identité, si l'on ne tenait tous les chaînons.

Auch den sogenannten patois, die alle seine Vorgänger unbeachtet liessen, hat Littré die gebührende Stelle eingeräumt: „Les patois, dans l'opinion vulgaire, sont en décri, et on les tient généralement pour du français qui s'est altéré dans la bouche du peuple des provinces. C'est une erreur. Je montrerai plus loin, à l'article dialectes que les patois sont les héritiers des dialectes qui ont occupé l'ancienne France avant la centralisation monarchique commencée au quatorzième siècle, et que dès lors le français

qu'ils nous conservent est aussi authentique que celui qui nous est conservé par la langue littéraire."

Unter der Rubrik „Etymologie" gibt Littré zum Schlusse von jedem Wort mit Beiziehung der übrigen romanischen Sprachen (zunächst provenç., span, italien.,) mit richtigem Tact und besonders für einen Franzosen doppelt rühmenswerther Grundlichkeit die Abstammung an, die seine Vorgänger noch sehr unzuverlässig bestimmten oder, was immerhin noch klüger war, ganz bei Seite liessen. Littré spricht sich sehr klar über die Bedingungen etymologischer Forschungen aus: ,,Mais l'étymologie est-elle une science à laquelle on puisse se fier, et dépasse-t-elle jamais le caractère de conjectures plus ou moins ingénieuses et plausibles? Cette appréhension subsiste encore chez de bons esprits, restés sous l'impression des aberrations étymologiques et des moqueries qu'elles suscitèrent. L'étymologie fut, à ses débuts, dans la condition de toutes les recherches scientifiques, c'est-à-dire sans règle, sans méthode, sans expérience. La règle, la méthode, l'expérience ne naissent que par la comparaison des langues, et la comparaison des langues est une application tout nouvelle de l'esprit de recherches et d'observations. . . . Désormais les recherches étymologiques sont sortis de cette période rudimentaire, et l'ancien tâtonnement a disparu. L'étude comparative a établi un certain nombre de conditions qu'il faut remplir."

So lange die französischen Gelehrten ausser ihrer Muttersprache höchstens Latein und Griechisch (und diese nur aus ihrer klassischen Literatur) kannten, waren sie natürlich zur Sprachvergleichung, ohne welche es keine etymologische Forschung gibt, so wenig befähigt, als zur Erkenntniss grammatischer Gesetze. Lexicographen wie Napoléon Landais, Boiste, Bescherelle, Poitevin und die Zunft der vierzig nicht ausgenommen, erinnern noch lebhaft an den Voltaire'schen Witz, dass die Etymologie die Wissenschaft sei, in welcher die Vocale wenig und die Consonanten nicht viel gelten.

Der Einleitung lässt Littré einen sehr klar und mit grosser Sachkenntniss geschriebenen Ueberblick über die Geschichte der französischen Sprache folgen, welche er ausführlicher in einem besondern Werke (histoire de la langue française. 2 vol.) behandelt hat, das wie das Wörterbuch ein glänzendes Zeugniss von Geist und Gelehrsamkeit ist. Was Littré in diesem Ueberblick in Beziehung auf die französische Literatur sagt, dürfte freilich in Deutschland hie und da Widerspruch erfahren, so z. B.: „L'antiquité gréco-latine avait amassé des trésors de style sans lesquels rien d'acheve ne devait plus se produire dans le domaine de la beauté idéale. L'art antique est à la fois un modèle et un échelon pour l'art moderne. Ce modèle et cet échelon, les trouvères ne l'eurent pas." Freilich haben die Griechen in der Poesie, wie in andern Künsten uns unerreichte Muster hinterlassen (von der lateinischen Kunst, die ohnediess nur eine Nachahmung der griechischen war, kann dies nicht einmal gesagt werden); aber dass ausserhalb derselben nichts Vollkommenes möglich ist, ist für die Poesie wenigstens zu viel gesagt. Man denke nur an die herrliche Zeit der mittelhochdeutschen Poesie) (an die Nibelungen, W. v. Eschenbach, Hartmann v. der Aue, Walther v. der Vogelwcide, Gottfried v. Strassburg), die so wenig als die Poesie der trouvères eine Nachbildung altklassischer Muster, sondern ureigenes Erzeugniss nationalen Lebens ist. Darum wird man noch mehr folgende Stellen anfechten müssen: „L'influence extérieure de notre littérature n'a pas été plus forte au dix-septième et au dix-huitième siècle qu'elle ne le fut au douzième et au treizième.... Ce mérite a été bien senti par ceux des étrangers qui imitaient la littérature française, et alors on l'imitait partout." Unsere grossartige Blüthe der mittelhochdeutschen Literatur nur eine Nachahmung der französischen des 12ten und 13ten Jahrhunderts zu

*) Und um ein anderes Beispiel zu geben, denke man doch an Shakespeare.

nennen, wird kein Deutscher zugeben. In der Poesie scheint mir der französische Nationalgeist überhaupt äusserst befangen. Ich bin weit entfernt, die äussere Eleganz und Formenschönheit der französischen Verskunst zu unterschätzen; aber es fehlt ihr die freie Bewegung, das Universale, das reinere Menschliche der deutschen Dichtung.

Der Raum gestattet es nicht in dieser Anzeige alle Artikel des Wörterbuchs, welche zu Bemerkungen Veranlassung geben, einzeln durchzunehmen und ich beschränke mich auf eine kleine Auswahl, besonders aus den letzteren Lieferungen.

A, prép. A exprime trois rapports différents: direction, repos, extraction. Quand, partant de ces trois significations fondamentales, on examine les acceptions telles qu'elles se comportent dans le langage, on rencontre une variété extrême de nuances, qui rend très-difficile le classement des sens." Littré classificirt daher die Anwendung von à nach den Wörtern vor und zwischen welchen es zu stehen kommt. So schwer es nun auch allerdings ist, die Beziehungen, welche à bezeichnet, zu ordnen, so wäre doch eine Eintheilung nach Bedeutung einer nur am Aeusserlichen haftenden vorzuziehen. Dasselbe gilt von de.

Aimer. Erwunscht wäre hier eine eingehendere Erläuterung über das Inf. Object ohne Präposition, mit à, mit de. Die Beispiele sind zwar reichlich, machen aber die Erläuterung nicht unnöthig.

Des. Pris partitivement, il faut quand un adjectif précède, dire en général de et non des: de bons vins, de bonnes gens. Mais on pourra se servir de des, quand le mot, en raison de l'usage, peut être considéré comme ne formant qu'un seul mot avec son adjectif: des jeunes gens. On reviendra à de, si on met devant l'adjectif un mot qui le modifie: de tout jeunes gens." Dass de der Stellvertreter eines bestimmten Casus ist, hätte doch beigefügt werden sollen. Das Französische hat freilich keine Casusformen mehr (ausgenommen qui, que), und darum sprechen die französischen Grammatiker nie von Genitiv, Dativ etc.; aber die Sache selbst besteht doch, und in vielen Fällen ist doch, wenigstens dem Deutschen und Lateinischen gegenüber, eine Unterscheidung von de und à als Casus vertreten und de, à als eigentliche Präpositionen sehr nützlich. Ebenso ist das partitive de ohne Beiziehung des Casusverhältnisses nicht befriedigend zu erklären. Man halte z. B. eine Form, wie: plusieurs des meilleurs auteurs der obigen Bemerkung gegenüber, und man wird das Ungenügende für den Lernenden erkennen.

Feu, s. Etym.: Bourguign. fô; picard. fu; provenç. foc, fuoc, fuec; catal. fog; espagn. fuego; portug. fogo; ital. fuoco, du latin focus, foyer. Feu n'a donc point de rapport avec l'allemand Feuer, qui tient au grec πυρ.

Feu, adj. défunt. D'après l'Académie feu n'a pas de pluriel; cette remarque n'est pas fondée, et il est correct de dire: les feus rois de Prusse et d'Angleterre. On dirait aussi, mais sans accord: feu mes oncles.

Feutre. Etym. Provenç. feutre; catal. feltre; espagn. fieltro; port. et ital. fetro; du bas-lat. feltrum, qui provient du germanique; anch. allem. filz, anglo-sax. felt, avec addition d'une r, ce qui n'est pas rare après le t.

Gabelle (impôt sur le sel). Etym. Provenç, gabela, gabella; espagn. et port. gabela; ital. gabella; bas-lat. gablum, gabulum; du germanique: anglo-sax. gaful, gafol, impôt; allem. mod. Gaffel; du verbe gifan, goth. giban; allem. mod. geben (donner). Les étymologistes espagnols le tirent de l'arabe kabala, impôt; à quoi Diez objecte que le karabe ne se prête pas à un adoucissement en g.

Gâche (outil de maçon). Etym. anc. h. allem. waskan (laver); allem. mod. waschen; angl. to wash.

Gache (terme de serrurerie). Etym. Origine inconnue. Peut-on mettre

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