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ici, à titre d'attente fort incertaine, des mots mal déterminés qui ont une forme semblable: le bas-lat. gascha qui semble signifier action de fendre la terre, et d'où vient gascarin, et le berrichon gâcher, drageon?

Gadoue. Etym. inconnue. Le wallon a godau, jus de fumier. Peuton rapprocher gadouc de godau, et l'un et l'autre de l'allem. Koth, bas-sax. koth?

Gaélique. Hier fehlt die Etymologie. Die Abstammung der Eigennamen ist überhaupt bis jetzt sehr spärlich untersucht worden.

Gage. Etym. Wallon, voig; prov. gatge, gatghe, gaje; esp. gage; ital. gaggio; du bas-latin vadium, wadium, dans les lois barbares Il y a deux étymologies aussi probables l'une que l'autre la première latine vas, vadis, garant; bien que le gou gu réponde ordinairement au w germanique, l'objection n'est pas absolue, car vagina entre autres, a donné gaine; la seconde germanique: goth. vadi; anc. h. allem. wetti; frison, ved, gage, caution, promesse. Il est probable que les deux étymologies ont concouru pour former le mot roman.

Gai. Etym. Berry gai, au féminin gaitte; prov. gai, guay; anc. esp. gayo; ital. gajo; de l'ancien h. allem. gâhi, prompt; allem. mod. jähe. Toutefois on peut noter, ne fût-ce que pour mention, le nom propre latin Gaius, qui était un nom de bon augure, et que les langues italiques offrent sous la forme de Gavius, lequel semble signifier le réjouissant. Gaius aurait donné sans peine gajo; mais les intermédiaires manquent. Bei Schuster-Regnier ist gaudere angegeben.

Gala. Etym. Esp. port. et ital. gala, de là le français moderne gala. Mais l'ancien français avait gale, qui est le même que gola de l'italien et de l'espagnol, et galer se réjouir. Ces mots viennent du germanique: anc. h. allem. geil, luxurieux, orgueilleux; angl.-sax, gâl, gai.

Galago (afrikanischer Affe). Dieses Wort heisst bei Schuster-Regnier Galagos.

Galimatias. Etym. Faut-il le rattacher au bas-lat. ballimatia qui signifiait cymbales; vallematia, dans les gloses d'Isidore, chants et plaisanteries déshonnêtes; du bas-grec Bahhiopátiov Bakhyuárior, qui signifiait danse? On a dit que galimatias venait de ce qu'un avocat, plaidant en latin pour Mathias, dans une affaire où il s'agissait d'un coq, s'embrouilla au point de dire galli Mathias au lieu de Gallus Mathiae; mais l'anecdote a été inventée pour fournir l'étymologie. Weigand sagt: Das franz galimatias sei ein spätes Wort von zufälliger, dunkler Entstehung. Ob nicht dem franz. die galimafrée-Gericht von durcheinander gemachten Speiseresten, verworrene (durcheinander geworfene) Erzählung, altengl. gallimawfrey-Gericht aus allerlei klein gehackten Speisen, verworrener Mischmasch von Dingen nachgebildet?

Gamin. Etym. Origine inconnue. Serait-il pour gambin, de gambe, jambe? Le terme picard est galmite; gamin et galmite sont-ils un même mot? On a aussi parlé de l'anglais gaming, jouant; mais la prononciation est ghêming; et d'ailleurs comment ce mot anglais se serait-il introduit en français?

Gant. Etym. Prov. gan, guan; catal. guant; espagn. guante; ital. guanto; bas-lat. wantus; du germanique: suédois, wante; anc. scand.

vöttr.

Garce. Autrefois garce n'avait aucun sens déshonnête; c'était simplement le féminin de garçon, et ce mot signifiait jeune fille Le sens ancien c'est conservé en quelques localités. Cette tendance de prendre les mots en mauvaise part produit de fâcheux effets. Garce avait un sens très-bon, on l'a rendu déshonnête; il a fallu prendre fille. Aujourd'hui fille est devenue déshonnête à son tour en certains cas; on ne peut plus dire une pension de filles; il faut dire: de jeunes filles ou de jeunes per

sonnes; où s'arrêtera-t-on? In Paris gebraucht man meist demoiselle in solchen Fällen.

Les

Gaulois. Etym. La Gaule, lat. Gallia. Cette forme est insolite, attendu que le latin n'a pas gallensis, qui seul aurait pu donner gaulois; quant à au, il paraît résulter de la résolution de la première en u. peuples romains portent en ancien allemand le nom de walh ou walah; vealh en anglosaxon; wälsch, en allem. moderne, c'est de là que vient wallon; nom d'un pays de langue française voisin de la langue allemande, et sans doute Wales ou pays de Galles en Angleterre. Scheler pense que ces mots représentent Gallus, mot celtique adopté par les Latins. Max Müller, au contraire, regarde walh ou walah comme une appellation donnée par les Germains à leurs voisins les Celtes et l'identifie avec le sanscrit mlechha, barbare, qui parle d'une manière indistincte. Mais, comme le mot walh ou walah ne se trouve qu'au VIIIe siècle, il est probable qu'il représente gallus.

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Gaz. Etym. Nom créé par van Helmont, et qui paraît formé du flamand geest; allem. geist. Scheler préférerait, sans l'assurer pourtant, le verbe gäschen, bouillir. Auch Weigand ist der letzteren Ansicht.

Gazouiller. Etym. Prov. gazal, bavard; gazalhar, gasar, bavarder. Il y a là un radical gas ou gaz qui paraît être le même que celui de jaser, à cause de la permutation du g en j. Diez, qui fait ce rapprochement, tire le mot du scandinave gassi, bavarois gänseln, gaser comme l'oie. Mais cette dérivation indirecte paraît devoir le céder à une dérivation directe venant du celtique: breton geiz, geid, gazouillement; kymri, gyth, murmure. Schuster-Regnier geben es einfach als Lautnachahmung an.

Génitif. Par une mauvaise imitation de la grammaire latine les grammairiens du XVIIe siècle donnaient, en français, le nom de génitif au rapport marqué par la préposition de. Ich stimme sehr selten mit den französischen Grammatikern überein; aber gerade hierin hatten sie nicht ganz unrecht. Ob es im Französischen Casus gibt, ist eine sehr unnütze Frage. Mit demselben Rechte könnte man sagen, dass es in den neueren Sprachen kein Passiv, keine Perfecta gebe etc. Die lateinischen Neutra haben bekanntlich keine besondere Flexionsendung für den Accusativ; hört aber denn darum für sie der Begriff der Sache selbst auf?

Germain. Etym. Lat. Germanus. Les anciens y voyaient le latin germanus, frère; mais cela ne mérite aucune considération, les Romains ne tirant pas les noms des nations barbares de la latinité. On a indiqué une origine allemande: Wehr, défense, ou Heer, armée, et Mann, homme; mais le mot germain a toujours été inconnu à l'Allemagne elle-même; ce n'est pas le nom qu'elle se donnait. Comme les Romains n'ont connu d'abord les Allemands que par les Gaulois, il est très-vraisemblable que le mot Germanus est d'origine celtique; et Mahn en a donné une étymologie très-plausible: kimry, ger, irl. gair, voisin, et man qui se trouve dans plusieurs nom de peuples celtiques, Cenomani etc., et qu'il assimile au kimry maon. peuple: le peuple voisin.

Guère. Etym. On l'a tire de l'allemand gar, anciennement garo, toutà-fait. Diez, au contraire, remarquant que les formes guaire, guari, ouère répondent à un double w allemand, propose l'ancien h. allem. wâri, qui signifie vrai; guère voudrait dire vraiment, et de vraiment à benucoup il n'y a pas loin. Cette étymologie, bonne pour la forme, ne l'est pas pour le sens. Aussi Diez lui-même est venu en douter. Son érudition lui a fourni une autre étymologie, ce semble, meilleure. Le moyen h. allem. a unweiger, qui signifie pas beaucoup, et qui suppose un simple weiger, beaucoup; ce simple se trouve dans l'ancien b. allem. ne weigarô, non beaucoup. Cette étymologie trouve un grand appui dans l'ancienne forme provençale gaigre.

Guérir. Etym. Picard, garir; Berry, garir, guarir; provenç. garir,

guarir, guerir; ital. guarire; du germanique: goth. warjan; anc. h. allem. werjan; allem. mod. wehren, défendre, protéger, ce qui est le sens primitif de guérir. Schuster-Regnier geben noch das lat. curare an.

Guillaume. Hier fehlt die weibliche Form Guillemette.

H. H initiale aspirée se prononce.. „Je n'aime pas les h aspirées cela fait mal à la poitrine, je suis pour l'euphonie; on disait autrefois je hésite, et à présent on dit j'hésite; on est fou d'Henri IV. et non plus de. Henri IV." Volt. Lett. Bordes. Cette boutade de Voltaire n'est qu'un caprice individuel, l'aspiration est un son qui se trouve dans les langues les plus harmonieuses. Aujourd'hui, surtout à Paris, beaucoup n'aspirent pas l'h et se contentent de marquer l'hiatus: le éros, la onte; mais dans plusieurs provinces, l'aspiration est très-nettement conservée, et cela vaut mieux.

Haranguer. Etym. Prov., esp. et port. arengar; ital. aringare. Weigand verfolgt das Wort weiter: aringare v. dem aus ahd. u. angels. hring (unserm Ring) = Kreis, Schauplatz entsprungenen ital. aringo= Rennbahn, Rednerplatz, offentliche Rede.

Hareng. Etym. Picard, héring; provenç. arenc; esp. arenque; ital arinca; de l'anc. h. allem. harine; all. mod. hering; holl. haring. Mais, bien que les mots romans viennent de l'allemand, l'allemand n'en a' pas moins une origine latine, à savoir halec, poisson salé. Weigand sagt dagegen: die Abstammung des Wortes ist dunkel. Der altnord. (mit lat. sal verwandte?) Name des Fisches war die sild, schwed. der sill, dän. sild, welchem böhm. sled', poln. sledz' entsprechen.

Harpon. Etym. Voy. Harper (anc. h. allem. harfan, saisir); génev. arpion; esp. arpon; port. arpao; ital. arpignone. Weigand sagt über Harpune: Aus niederl. harpoen, welches aus franz. harpon, v. span. u. prov. arpa = Kralle, Haken, urspr. unser Harfe, die hakenförmige Ge

stalt hat.

Hollande. Etym. Allem. hohl, creux, et Land, terre: Pays-Bas. On a dit aussi que l'étymologie est holt-land, terre boisée, de holt, bois, nom d'une ile où est située Dordrecht, et qui s'étendit au reste du pays. On a dit enfin que cette dénomination venait de helium ou helle, ancien nom de l'embouchure principale de la Meuse.

Honnête. Rem. L'académie met à tort deux n,à honnête, puisqu'il n'y n'en a qu'une dans honestus et dans honorer. Dies ist nicht der einzige Fall, wo die Orthographie der Academie unrichtig ist (carrosse, charrier aber chariot, oxyde aber cristal, isocèle statt isoscèle, misanthrope aber philantrope). Ist ja doch das Wort für Orthographie selbst eine falsche Bildung: orthographe statt orthographie, so gut wie das französische die Form calligraphie hat.

Horde. Rem. La Harpe a prétendu que Voltaire avait le premier employé ce mot. On le voit à l'historique usité dès le seizième s ècle (D'Aub. Hist.).

In Beziehung auf die Vollständigkeit des Wörterverzeichnisses lässt Littré nichts zu wünschen übrig. Doch habe ich in einem kleineren Wörterbuche z. B. folgende Wörter gefunden: gapate, galerite, gallioque, géate, géarcin, géhydrophiles, géique, gélasime, gelasme, die bei Littré nicht stehen; aber allerdings betreffenden Orts (bei Schuster-Regnier) sehr unnützerweise aufgenommen wurden.

Bei dem Werke eines Mannes, den man gewiss den grössten Philologen, überhaupt einen der bedeutendsten Gelehrten Frankreichs nennen kann, wird es nicht unerwünscht sein, schliesslich noch einige biographische Notizen zu geben, welche ich der Gefälligkeit des Verlegers verdanke: Littré est né 1801 à Paris, d'un père bas-normand et d'une mère Lyonnaise, Elevé pour le culte de la vérité recherchée uniquement pour elle-même son père comme le beau-père de celui-ci étaient des républicains zélés il n'a jai mais voulu des fonctions publiques. D'abord sécrétaire du comte Daru, l

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donna des leçons de latin, et travailla au National dont il eut en 1835 la rédaction pour la partie scientifique à partir de 1831. En médecine Littré fit de profondes études, témoins: le dictionnaire, dit de Nysten, l'édition et la traduction des œuvres de Hippocrate. En philosophie, il a embrassé le positivisme et s'est déclaré le disciple d'Aug. Comte. Cette philosophie a valu à Littré des accusations d'athéisme et de matérialisme, et a fait échouer sa candidature à l'Académie française. Littré est pourtant de l'Institut, mais de l'Académie des Inscriptions. En 1838 il y fut porté par son ami Eug. Burnouf, et nommé grâce à ce que cette classe éclairée de l'Institut ne s'effraya pas de la traduction de Strauss, que Littré venait de faire paraître. Se trouvant attaché a ce moment à la commission de l'histoire littéraire de la France, Littré qui n'avait cultivé jusqu'alors que la philologie du grec et du latin (aussi un peu de Sanscrit par E. Burnouf), se lança dans l'étude du vieux français, à laquelle il a fait faire de si grands progrès dans notre pays par son histoire de la langue française, 2 vol. L'œuvre principale de L. est son dictionnaire. Il le prépare depuis 20 ans, ce monument unique élevé à notre langue, et lui seul était en état de l'entreprendre. On est étonné quand on pense qu'un seul homme a soulevé ce monde de recherches. Mais cet homme unique, en quelque sorte prédestiné à son œuvre, réunissait en lui toutes les qualités indispensables pour la mener à bien: la clarté française, l'intensité allemande, la liberté d'un encyclopédiste et la patience d'un bénédictin. Littré se lève à 10 heures et emploie sa journée à ses travaux de toute espèce. Rentré chez lui, il se met au dictionnaire à 7 heures après dîner et il y travaille jusqu'à 3 heures du matin. A ce régime la santé ne se fortifie pas. Dans sa jeunesse Littré était plein de vigueur, adroit à tous les exercices corporels. Aujourd'hui l'excès du travail intellectuel a réduit cette force; mais l'esprit a gagné en flamme et en finesse, comme le cœur en bonté. Littré est la bonté elle-même, et la vanité, défaut des savants et érudits, lui est tout-a-fait étrangère. A la bonté ajoutons une tolérance qui vient d'un esprit large, ne s'étonnant de rien et s'expliquant chaque chose par sa place et son milieu.

Indem ich nun dies Wörterbuch von Littré allen Lehrern und Lernenden der französischen Sprache aufs dringendste empfehle, schliesse ich diese Anzeige mit dem Wunsche, es möchte, nachdem jetzt durch Littré einerseits und Grimm-Weigand andrerseits die Quelle geschaffen ist, ein deutscher Gelehrter ein grösseres Schulwörterbuch der französischen und deutschen Sprache ausarbeiten, wie es vor 26 Jahren Schuster-Régnier nicht unrühmlich versuchten.

Paris.

K. Schlegel.

Elementargrammatik der englischen Sprache mit stufenweise eingelegten Uebersetzungsaufgaben, Lesestücken und Sprechübungen nebst zwei vollständigen Wörterverzeichnissen von Dr. L. Georg, Hauptlehrer am Realgymnasium zu Basel. Dritte unveränderte Auflage. Leipzig, Veit & Comp. 1866. Je grösser die Zahl der englischen Elementargrammatiken und je schwerer es dabei wird, die richtige Wahl zu treffen, um so mehr glaube ich auf den Dank der weniger orientirten Lehrer zählen zu dürfen, wenn ich sie hier auf das oben angezeigte Lehrbuch nochmals aufmerksam mache.*) Ich habe dasselbe seit mehreren Jahren bei meinem Privatunterricht benutzt

*) Vgl. Archiv XXXII 1, wo sich eine anerkennende Besprechung der 1. Auflage des Buches von Dr. Meissner befindet.

und kann versichern, dass es die Probe vortrefflich bestanden hat. Das Urtheil, welches ich über das Buch falle, ist demnach kein bloss theoretisches, sondern beruht auf pädagogischer Erfahrung, was bei Lehrbüchern gewiss das allein Zutreffende und Massgebende sein kann. Ich hatte früher mehrere andere Grammatiken benutzt, die sich auf den ersten Anschein und bei meiner eigenen Prüfung als recht brauchbar empfahlen; bei längerem Gebrauche jedoch für die verschiedenen Schüler, die ein Privatlehrer zu unterrichten hat, stellte sich immer dieser oder jener Mangel heraus und schliesslich die Nothwendigkeit, mich nach einem andern umzusehen. Das vorliegende jedoch hat sich für Schüler und Schülerinnen jeden Alters bewährt, dürfte aber ganz besonders für Real- und Töchterschulen zu empfehlen sein. Es besteht aus zwei Theilen, deren erster ein calculirender Cursus ist, während der zweite den systematischen Cursus enthält. Voran geht das Allernöthigste über die Aussprache. Da der Verleger gern dazu erbötig ist, jedem Lehrer auf Verlangen ein Freiexemplar zur Prüfung zugehen zu lassen, so bin ich der Mühe überhoben, das Nähere über die Eintheilung anzugeben, die man leicht aus den vorangeschickten „Bemerkungen über die Methode und den Gebrauch dieses Lehrbuches" ersehen kann. Ich will daher lediglich ein Zeugniss dafür ablegen, dass die Regeln sehr vollständig und leicht fasslich sind und die typographische Einrichtung, alles Wichtige durch Fettdruck hervorzuheben, die Einprägung ins Gedächtniss erleichtert und fördert. Die eingelegten englischen Lesestücke sind wirklich recht unterhaltend und mit viel Geschick gewählt, insofern sie sich den jedesmaligen vorangegangenen deutschen Uebungsstücken und den darin zur Anwendung kommenden Regeln so passend wie nur möglich anschliessen. Die denselben beigefügten Sprechübungen sind sehr zweckmässig und bequem für Lehrer und Lernende. Die deutschen Uebungsstücke könnten vielleicht etwas länger sein; das ist aber das einzige, was sie für den Privatunterricht zu wünschen übrig lassen. Für Schulen jedoch dürften sie gerade das richtige Maass einhalten, um so mehr, als für jede Lection deren mehrere beigegeben sind. Die Aussprache in den Wörterverzeichnissen ist mit grosser Genauigkeit durch Ziffern angegeben. Für den Schüler empfiehlt sich das Buch übrigens noch durch die Billigkeit des Preises, die um so höher anzuschlagen ist, als er kein anderes neben ihm benöthigt, sei es Lese-, Gespräch- oder Wörterbuch, und zum Selbstunterricht noch dadurch, dass ein Schlüssel dazu vorhanden ist, der zur Vermeidung des Missbrauchs nur Erwachsenen verabreicht wird. So wie es mit dem Unterricht in den andern Sprachen hier und da bestellt ist, dürfte der letztere Umstand wohl auch manchem Lehrer willkommen sein. Jedenfalls jedoch ist es besser, wenn ein Lehrer, der sich schwach fühlt, des Schlüssels sich bedient, als dass er, wie ein gewisser Grammatiker es gehalten, den Schülern erst fehlerhaftes Englisch beibringt und dann erst von einem Freunde, wie er das in einer seiner neueren Vorreden selbst erzählt, die Fehler in seiner Grammatik berichtigen lässt. Dass auch bei Georg Einzelnheiten zu berichtigen sind, will ich nicht verhehlen; sie fallen aber gegenüber dem Gesammtwerthe und der allgemeinen Genauigkeit und Brauchbarkeit des Buches so wenig ins Gewicht, dass sie kaum erwähnt zu werden brauchen. Wie übrigens in der kritisch pädagogischen Vierteljahrsschrift, bei sonstiger Anerkennung, daran ausgesetzt worden, dass die englischen Musterbeispiele nicht zahlreich genug für den Schulgebrauch seien, so muss ich gestehen, dass meine Erfahrung dies nicht bestätigt und meine Schüler die gegebenen Beispiele stets ausreichend fanden, um ihnen als Leitfaden bei der Uebersetzung der deutschen Stücke zu dienen, während sie gerade im Gegentheil die längeren Musterstücke im propädeutischen Theil oder in andern früher von mir benutzten Lehrbüchern weniger berücksichtigt haben, oder doch nicht geschickt oder aufmerksam genug waren, sich die Regel aus den Beispielen zu eruiren.

Leipzig.

Dr. David Asher.

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