Obrázky na stránke
PDF
ePub

et plus tard du Gymnase, frère de M. Gus- a tave Lemoine].

I. Avec M. H. Meyer: le Doigt de Dieu, drame en un acte. Représenté sur le théâtre de l'Ambigu-Comique, le 27 mars 1834. Paris, Marchant, 1834, in-8.

II. Avec MM. Cogniard : Une Chanson, drame-vaudeville en trois actes, imité de l'allem. Représenté sur le théâtre de l'Ambigu-Comique, le 8 mai 1834. Paris, le même, 1834, in-8 de 56 pages à longues b lignes, ou in-8 de 24 pag. à deux col.

III. Un Fils, drame en trois actes. Représenté sur le théâtre de l'Ambigu-Comique. Paris, Barba, Bezou, Pollet, 1836, in-8 à 2 col.

Faisant partie de la « France dramatique au XIXe siècle ».

IV. Avec M. Victor (Bois): Wilson,_ou une Calomnie, drame en trois actes. Représenté sur le théâtre de l'Ambigu-Comique, le 25 février 1836. Paris, Bezou, 1836, in-8.

V. Avec M. H. Meyer: Amazanpo, ou la Découverte du quinquina, drame en quatre actes et sept tableaux. Représenté sur le théâtre de l'Ambigu-Comique, le 21 juin 1836. Paris, les marchands de nouv., 1836,

[blocks in formation]

VIII. Avec M. Valory [Ch. Mourier]: Zara, ou la Sœur de l'Arabe, mélodrame en quatre actes. Représenté sur le théâtre des Folies-Dramatiques, le samedi 20 mai 1837. Paris, Pollet, 1837, in-8, et Paris, Marchant, 1841, in-8.

IX. Avec M. Isidore Simard : la Rose du faubourg, vaudeville populaire en deux actes. Représenté sur le théâtre des Folies-Dramatiques, le 1er juillet 1837. Paris, Marchant, 1837, in-18.

с

d

e

Faisant partie d'un « Nouveau Répertoire dramatique ».

X. Avec M. H. Meyer: Samuel le marchand, drame en cinq actes. Représenté sur le théâtre de l'Ambigu-Comique, le 10 mars 1838. Paris, Barba, Bezou, 1838, in-8.

Réimpr. dans la même année pour la France dramatique au XIXe siècle ».

XI. Avec MM. H. Meyer et Lefort: le Sylphe d'or, pièce fantastique en trois actes, précédée d'un prologue. Représentée sur le théâtre de la Gaîté, le 13 avril 1839. Paris, Marchant, 1839, in-8.

XII. Avec M. Auguste Rousseau: Père Brice, drame vaudeville en deux actes. représenté sur le théâtre de la Gaîté, le 1er juin 1838. Paris, Gallet, 1839, in-8.

Formant les 15e et 16e livraisons d'une collection intitulée « Paris dramatique ».

Sur ces deux dernières pièces M. A. Lemoine a encore joint son pseudonyme à son nom véritable: LemoineMontigny.

Un Fils, drame, 1839, in-8. C'est la seule pièce que M. Lemoine ait faite tout seul. (Vapereau.)

XIII. Avec M. H. Meyer: la Famille Dulaure, drame-vaudeville en un acte. Représenté sur le théâtre de la Gaîté. Paris, Gallet, 1840, in-8.

Formant le no 52 du « Répertoire dramatique ».

XIV. Avec le même : Un moment d'ambition, ou Plus de peur que de mal, comédie-vaudeville en un acte. Représentée sur le théâtre de la Gaîté, le 9 août 1849. Paris, Vert, Gallet, 1840, in-8.

Faisant partie de « Paris dramatique ».

Cette pièce porte encore pour nom de l'un des auteurs: Lemoine-Montigny.

XV. Note justificative présentée par Horace Meyer et Lemoine-Montigny, directeurs de la Gaîté, à MM. les membres composant la commission des théâtres royaux. Paris, Boulé, 1843, in-4 de 8 pag.

M. de Manne fait observer (Dictionnaire des anonymes, 3e édit., no 1103), que c'est par erreur que la France littéraire attribue à Louis Montigny deux pièces : Le Doigt de Dieu » (1834), et « Une Chanson, qui seraient de son frère, M. Edouard Lemoine.

[ocr errors]

MONTJOIE (Christophe-Félix-Louis GALART DE), ps. [VENTRE DE LA TOULOUBRE].

Pour la liste de ses nombreux ouvrages, voyez la «< France littéraire », au nom sous lequel il est le plus connu, à MONTJOIE,

MONTLAVILLE, nom nobil. [le baron CHAPUYS DE].

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à CHAPUYS DE M.

[blocks in formation]

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à LE CLERC DE M. MONTLIVAULT (de), nom nobil. [Eléon. Jacq.-Franç. de Sales GUYON, comte deancien capitaine de frégate].

[ocr errors]

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire à MONTLIVAULT.

MONTLOSIER, nom nobil. [FrançoisDominique REYNAUD, comte de]."

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à MONTLOSIER.

MONTLUC (de), nom nobil. [Blaise de LASSERAN-MASSENCÔME, seigneur de]. Voy. la « France littéraire » à MONTLUC.

Une bonne édition de ses « Commentaires et Lettres a été publiée par la Société de l'histoire de France, 1866-68, 3 vol. in-8.

+ MONTLUCON (Mme Marie de) [Mme Louise LENEVEUX, née à Montluçon]. I. Les Rêves gracieux de l'enfance. 1861, in-4.

II. Soirées en famille, lectures pour la jeunesse.

Divers autres ouvrages d'éducation indiqués au « Catalogue général » de M. Otto Lorenz.

MONTMOLIN, l'uu des ps. de VOLTAIRE, pour sa Collection de Lettres sur les miracles ». Voy. THERO.

+ MONTMORENCY (duc de) [Simon DUCROS].

Mémoires de Henri, dernier Mauger, 1665, in-12.

Paris,

+ MONTMORENCY (CRÉQUY), impos

teur.

On ne sait pas le nom exact de ce personnage, qui se prétendait issu d'un mariage secret de Louis XV avec une dame de Montmorency. I fit imprimer des pétitions à l'Assemblée nationale et à la Convention, des plaintes sur sa détention; huit de ces pièces se trouvent dans la collection révolutionnaire de M. de La Bedoyère (achetée par la Bibliothèque impériale; voir le catalogue, Paris, 1862, no 755). Il eut le tort d'adresser des pétitions menaçantes à la Convention, qui lui répondit en l'envoyant à l'échafaud.

+MONTOIS (un) [MARSIGNY, professeur de poésie à Mons].

Les Trois Napoléons. Mons, ManceauxHoyois, 1852, in-12, 7 p.

« Nous n'aurions pas parlé de ces misérables vers, dit l'Observateur belge » du 14 décembre 1852, s'ils n'étaient que de misérables vers. Mais, en Belgique,

a

b

chanter la gloire de Napoléon, chanter la guerre et les frontières du Rhin, c'est, que les vers soient bons ou mauvais, une mauvaise action. »

Il y a des exempl. qui sont entièrement anonymes, et j'en possède un sur la couverture et le titre duquel on a ajouté après coup: par M. C. Wins.

+ MONTOLIEU (Mme Isabelle de) [Isabelle POLIER DE BOTTENS, baronne DE MONTOLIEU, née en 1751, morte en 1832].

Sternbald, traduit de Tieck. Paris, 1823, 2 vol. in-12.

Cette attribution est très contestable. Voir dans la << France littéraire la liste des nombreux écrits et des traductions ou plutôt des imitations dues à cette très-féconde nouvelliste. Ces écrits, qui ont eu du succès, ont tous été retouchés par divers littérateurs, tels que MM. René Perrin, Edme Héreau, etc. Il parait aussi que M. de Féletz a revu quelques-uns des premiers ouvrages de madame de Montolieu.

+MONTOLIEU [Mme Jenny BASTIDE]. Plusieurs nouvelles insérées dans divers crecueils, notamment dans les « Heures du soir ».

d

e

Le nom de la baronne de Montolieu, romancière fort en vogue il y a 50 ou 60 ans, avait été adopté dans une intention facile à deviner.

MONTOLIEU (F. de), ps. [BASTIÉ, de Montolieu, auteur d'article sous ce nom dans le journal de M. Cellier-Dufayel].

MONTPENSIER (Mlle de), apocryphe [Mme GUÉNARD, baronne BROSSIN DE MÉRÉ]. Mémoires de petite-fille de Henri IV.

Voy. Boissy, I, 544 c, et ajoutez :

Ces Mémoires sont pourtant abrégés de ceux qu'a laissés la duchesse. Voy. « la France littéraire» à MONT

[merged small][merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small]
[blocks in formation]

MONTROL (de), nom abrév. [François MONGIN DE MONTROL].

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à MONTROL.

+ MONTROND (Max. de) [Cl. M. J. Maxime FOUCHEUX DE MONTROND, né en 1805].

Essais statistiques sur la ville d'Étampes. 1836-37, 2 vol. in-8.

De nombreux ouvrages d'éducation et de piété, publiés à Paris ou à Lille. Voir la France littéraire », XI, 148, et le « Catalogue général » de M. Otto Lorenz, t. III, p. 527.

+ MONVAL (Eugène) ou DE MONVAL, [Auguste-Eugène TRENTE-LIVRES].

a

du latin, par Savinien d'Alquié. Amsterdam, J.-J. Schipper, 1699, in-16.

C'est aussi sous ce pseudonyme qu'a été publié l'ouvrage latin de Puffendorff (Genève, 1667, in-18); mais il en existe une traduction postérieure à celle que nous venons de citer (celle de J.-Fr. Spon, Strasbourg, 1728), qui a paru avec le véritable nom de l'auteur.

+ MOQUIN-TANDON (A.).

Carya Magalonensis ; manuscrit du XIVe siècle, publié par Toulouse, 1836, in-8, fac-simile du manuscrit.

Tiré seulement à 50 exemplaires, tous distribués aux amis de l'auteur.

Une seconde édition avec traduction a été publiée sous ce titre Carya Magalonensis, le Noyer de Magalonne. Montpellier, 1844, in-12; titre lithographié en or et couleur; XXVI et 172 p.

Cette chronique apocryphe de Maguelonne, seigneurie de Montpellier, au XIVe siècle, est un pastiche de la langue romane, si habilement écrit, et où l'auteur a su s'inspirer si bien des idées, des habitudes, des tradiCtions, de la forme du langage dans les vieux temps, que le savant Raynouard y fut complétement trompé. II écrivit à l'auteur: « Je regarde comme une publication très-utile celle que vous avez faite... J'y ai recueilli plusieurs mots qui entreront dans mon lexique roman!! » G. M.

Voir la France littéraire », t. XI, p. 335. MORAINES (Antonius), ps. [Joan. MARTINON].

Quelques vaudevilles composés avec
divers collaborateurs, notamment << la
Muette des Pyrénées ». Paris, 1828, in-8.
MONTVÉRAN (de), nom abrév. [TOUR-din-fol.
NACHON DE MONTVÉRAN].

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la <<< France littéraire », à MONTVÉRAN.

MONTYON (le baron de), nom nobiliaire [Antoine-Jean-Baptiste Robert AUGET, baron de Montyon].

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la << France littéraire », à MONTYON.

MONVEL, nom théâtral [Jacques-Marie BOUTET, l'une des illustrations de la Comédie-Française, et auteur dramatique]. Pour la liste de ses ouvrages, voyez la << France littéraire », à MONVEL.

MONVEL fils, ps. [Noël-Barthélemy BOUTET, fils du précédent, et ancien secrétaire des commandements de Cambacérès].

Pour la liste de ses ouvrages, voyez la « France littéraire », à MONVEL, et ajoutez : «<le Chant de la Paix. Orléans, 1837, in-8, 12 pag.

MONVILLE (de), nom nobil. [T.-C.-G. BOISSEL, baron de MONVILLE, mort pair de France]. Pour la liste de ses ouvrages, voy. «la France littéraire », à BOISSEL DE M.

MONZAMBANE (Sévérinus), ps. (Samuel DE PUFFENDORFF].

L'État de l'empire d'Allemagne, traduit

Anti-Jansenius. Lutetiæ-Paris., 1652,

MORAMBERT (de), nom de bénéfice [Ant.-Jacq. LABBET]. Pour la liste de ses ouvrages, voy. « la France littéraire », à MORAMBERT.

+ MORANCEZ (de) [Paul PARFAIT]. Des articles dans « l'Univers illustré ». + MORAND (Altève) [AUMONT]. Directeur de divers petits journaux, « l'Appel, le Triboulet ».

Voir G. d'Heilly, p. 230.

MORANGIES, nom nobiliaire, [JeanFranç.-Charles DE MOLETTE, comte de]. Voy. « la France littéraire » à MORANGIES.

+ MORAS (Anne-Marie de), comtesse de Courbon, aut. sup. [le chevalier DE MOUнY].

Mémoires d'-, écrits par elle-même. La Haye, P. De Hondt, 1739, 4 part. in-12.

On trouvera une liste assez étendue des ouvrages de ce fécond et facile écrivain dans la France littéraire pour 1758, qui le fait naître à tort à Dijon. G. M.

MORAT (Frédéric), ps. sous lequel M. Etienne ARAGO a fait imprimer quelque chose.

MORDAX, ps. [DE LAVIGNE].

I. Bataille gagnée et perdue, tant tués

gr. in-8 à 2 col.

que blessés personne de mort, ou Ré-|a| Paris, Barba, Delloye et Bezou, 1838, flexions impartiales, spirituelles et piquantes sur les « Deux Gendres » et Conaxa ». Paris, J.-G. Dentu, 1812, in-8.

II. Vives escarmouches avec M. Hoffman. Paris, le même, 1812, in-8.

MOREAU et AUGUSTE, ps. [Mario CosTER].

La Nuit d'auberge, comédie-vaudeville en un acte, mêlée de vaudevilles. Paris, 1806, in-8.

+ MOREAU (Hégésippe).

Né le 9 avril 1810, ce poële resté célèbre était fils naturel de M. Moreau, professeur, qui ne le reconnut jamais. M. G. d'Heilly, qui entre à cet égard dans quelques détails (« Nouveau Dict. des pseudonymes», p. 231) prétend que le nom et surtout le prénom du poëte (l'acte de l'état civil le nomme Pierre-Jacques), sont des pseudonymes.

MOREAU (C.), ps. [Amable LEMAITRE].

Avec M. And. Slowaczynski : Annuaire statistique pour 1838, de l'Europe, de L'Asie, l'Afrique, l'Amérique et l'Océanie, et chacun des empires, royaumes, états et colonies qui en dépendent; comprenant pour chaque partie et état du monde : 1° la statistique physique et descriptive; 2o la statistique productive et commerciale; 3 la statistique morale et administrative, etc. Paris, place Vendôme, 18, 1838, 2 vol. in-18.

+MOREAU (Jean) [Jean MACÉ, professeur, né en 1815]. Lettre de

sin. 1848, in-12.

garde national, à son voi

+ MOREAU (Adrien) [BOREL D'HAUTELIVE].

Des articles de journaux.

MOREAU DE COMMAGNY, nom anobli [C. F. J. B. MOREAU, vaudevilliste, fils d'un ancien professeur de mathématiques au collège de Juilly]. Pour la liste de ses pièces, voy. « la France littéraire », à MOREAU.

+ MOREAU (Eugène) ps. [Eugène LEMOINE].

M. E. Lemoine a beaucoup travaillé avec Labiche, Delacour, Siraudin, etc.

+MOREL (F.-C.) [BEAUJOLIN]. Traité théorique et pratique de la fabrication des feutres. Paris, 1826, in-8, 192 p.

MOREL, ps. [DESVERGERS, Armand CHAPEAU et LUBIZE].

La Cachucha, ou Trois cœurs tout neufs, vaud. en 1 acte. Représenté sur le théâtre. du Gymnase dramatique, le 30 juillet 1838.

b

e

Faisant partie de la France dramatique au XIXe siècle ».

+MOREL (G.) [Arthur JOIN-LAMBERT, l'un des quatre auteurs du volume intitulé : << Rouenneries ». Rouen, 1862, in-12].

MOREL DE CHEDEVILLE, superfétation nominale [Etienne MOREL, poëte dramatique lyrique].

I. La Caravane du Caire, ou l'Heureux esclavage, opéra en trois actes (en vers libres). Paris, Ballard, 1783, in-8; et Paris, Delormel, 1785, in-4.

On a dit que Louis XVI avait eu part à cet opéra. II. Panurge dans l'île des Lanternes, opéra en trois actes. Paris, Delormel, 1785, in-8.

On a prétendu que cet opéra était presque en entier l'ouvrage de Monsieur (depuis Louis XVIII), et que Morel n'avait été que le collaborateur, l'arrangeur et le prête-nom de ce prince, ainsi que celui de Louis XVI pour la Caravane ».

Il a été publié contre cette pièce : « Panurge, ballet comique en trois actes, par Fr. Parfait, et M*** (Morel), dénoncé au public comme le plus grand des plagiaires, avec des notes et des preuves matérielles» (par Moutonnet-Clairfons). Paris, an IX (1801), in-8.

MORELL (Charles), ps. [Jacques RIDLEY].

Les Contes des Génies, ou les Charmantes leçons d'Horam, fils d'Asmar; ouvrage traduit du persan en anglais, par-, de l'anglais en français par Robinet. Amsterdam, M. M. Rey, 1767, 3 vol. in-8.

MORENCY (Mme G... de), ps. [Mme Suzanne Bertrand QUINQUET, née Girieux]. I. Illyrine, ou l'Écueil de l'inexpérience. Avec cette épigraphe :

Ce monde est une comédie,

Où chaque acteur vient à son tour Amuser les hommes du jonr

Des aventures de sa vie.

ALIBERT, Epître à Sophie.

Paris, l'Auteur, Ferrou, Mme Pringuet, an VII (1799), 3 vol. in-8, ornés du portrait de l'auteur.

Cet ouvrage n'est point un roman; c'est l'histoire un peu scandaleuse d'une femme de vingt-huit ans, écrite par l'héroïne même qui en est l'objet sa famille n'y est point respectée. La plupart des personnages qu'on y voit figurer sont très-connus, et ont joué de grands rôles sur le théâtre de la révolution. La multitude des aventures contenues dans ces mémoires prouve que pendant 15 ans l'héroïne n'a perdu que peu ou point d'instants. « La connaissance que j'ai des hommes, dit-elle, m'a appris à traiter l'amour cavalièrement » : principe qu'elle a mis en usage tant qu'un reste d'attraits le lui a permis.

II. Rosalina, ou les Méprises de l'amour et de la nature, par l'auteur de « Illyrine ».

Paris, Bertrandet, an IX (1801), 2 vol.a in-12, fig.

III. Lise, ou les Hermites du Mont-Blanc, roman nouveau, faisant suite à « Illyrine et à « Rosalina ». Paris, Charles, an IX (1801), in-12.

IV. Euphémie, ou les Suites du siége de Lyon; roman historique, par l'auteur de « Illyrine ». Paris, Bertrandet, Ouvrier, an IX (1801), 4 vol. in-12, avec gravures.

V. Orphana, ou l'Enfant du hameau: par l'auteur de « Illyrine », etc. Paris, Ouvrier, an X (1802), 2 vol. in-12, avec fig.

VI. Zéphyra et Fidgella, ou les Débutantes dans le monde. Paris, 1806, 2 vol. in-12.

ou la « Législature » (fondé par M. de Boissy, pair de France, en 1845 et 1846).

MORIA, ps. [le comte Alex. de La BORDE].

Recueil de chansons. In-fol.

MORILLO (le général), aut. sup.

Mémoires du général Morillo, comte de Carthagène, marquis de la Puerta, relatifs aux principaux événements de ses campagnes en Amérique, de 1815 à 1821; suivi de deux Précis de don José Domingo Diaz, secrétaire de la junte de Caracas, et du général don Miguel de la Torre. Traduits de l'espagnol par MM. Meissonnier de Valcroissant et Ernest de Blosseville, conseiller de préfecture. Paris, Dufart, 1826, in-8.

La femme objet de cette note n'est point la chaste Suzanne; née d'une famille honnête des environs de Soissons, elle joignait à quelque beauté les grâces de l'esprit. Epouse de Bertrand Quinquet, imprimeur-Climinaire, qui est signée de ses initiales. libraire à Compiègne, elle profita de la faveur du divorce pour rompre une union qui lui paraissait mal assortie; elle eut des intrigues amoureuses avec Quinette, de Soissons, et autres conventionnels.

Les deux Précis de Don José Domingo Diaz sont traduits par M. E. de Blosseville, ainsi que la Notice pré

Quant à son mari, il avait fait du bruit en 1785, 1786 et 1787, par une gazette contre l'aristocratie: des nobles le rouèrent de coups. Il s'en vengea à la révolution, lorsqu'il fut nommé syndic du district, et influa fort sous la Terreur. Il vint à Paris et eut longtemps un bon emploi dans les bureaux de la police.

+Voir sur Mme Morency une curieuse notice de d Ch. Monselet dans les Oubliés et Dédaignés ».

+ MORÉRI.

Parmi les collaborateurs au Dictionnaire historique publié sous ce nom, il faut citer:

Joseph du Mabaret, professeur de philosophie à l'université d'Angers, puis curé de St-Michel en la ville de Saint-Léonard, dans la Marche, auteur de plusieurs ouvrages de théologie et d'histoire, collaborateur des << Mémoires» et du « Dictionnaire» de Trévoux, de celui d'Expilly, etc., né à Saint-Léonard le 25 mars 1697, mort au même lieu le 19 mars 1783. (Notice par l'abbé Arbellot, Limoges, in-8 de 23 p.; - autre par le P. Piolin dans la «Revue d'Anjou », 1868, t. 1, p. 129).

Mabaret avait fourni beaucoup de notes pour l'édition de Moréri, 1732, et le Supplément 1735. Voir art. Moréri dans la dernière édition en 10 vol.

+ MORETTI [D. MARTELLI].

L. D. L. S.

e

Grammaire italienne, en vingt leçons, par Vergani, augmentée de quatorze nou-f velles leçons, par le professeur-. 3o édit., Paris, 1831, in-12.

La 1re édition est de 1829. Voir le « Journal de la Librairie 1829, no 3560, pour une critique de cet ouvrage.

+ MOREVAUX (F. de) [Adolphe DuMAS].

Rédacteur des feuilletons dramatiques dans le journal intitulé : « le Législateur ».

Ces Mémoires ont été désavoués par le général Morillo. La Notice préliminaire expose sincèrement tous les faits de la publication; elle a seulement omis de constater que les deux résumés historiques, véritables rapports officiels intercalés dans le Mémoire publié à Caracas et Madrid, ont été communiqués aux deux traducteurs par le général Morillo lui-même, qui les avait fait venir exprès de Madrid, ainsi que, les deux Précis. Cette réticence avait été demandée par le général. (DE MANNE, Nouv. Rec. d'ouvr. anon. et pseud., 1868, no 2536).

MORIN (Louis), ps. [VARÉ, ancien ré dacteur du « Correspondant »].

Propriété et Communisme. Paris, Amyot, 1848, in-8, 96 p.

+ MORIN (Michel).

Voy. MICHEL MORIN, II, 1138.

+ MORIN PIERCHAMP [Symphorien CHAMPIER].

Voy. DU MAS. I, 1022, a.

+ MORISSEAU [H. DE BALZAC].

Des articles dans la « Caricature ». 1831.

MORISSON (Julien), docteur en médecine, à Paluau, en Bas-Poitou, ps. [J.-B. SENAC].

Lettres de sur le choix des saignées. Paris, 1730, in-12.

Ces lettres pseudonymes, fort piquantes, dans lesquelles Senac réfute la doctrine de Sylva sur la révulsion et la dérivation, et écrites contre piusieurs médecins du temps, attirèrent des désagréments à La Mettrie, qui fut accusé d'en être l'auteur, et dont elles occasionnérent en partie l'expatriation.

+ MORLINI, aut. supp.

On connait la rareté de l'édition originale des « Novella « et des « Fabulæ de ce Napolitain, imprimée en 1520. Ce recueil a d'ailleurs été réimprimé deux fois; en 1799, à petit nombre, par les soins du P. S. Caron; en 1855, avec beaucoup de soin, dans la « Bibliothèque elzévirienne ». Un littérateur instruit, Simon

« PredošláPokračovať »